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Plongée sous-marine à Sitia en Crète : plongeur explorant l'épave du MV Dionysios près d'une grotte sous-marine éclairée par le soleil

Où faire de la plongée sous-marine à Sitia : 5 spots et centres PADI [2024]

Posted on 22 septembre 2025

Si vous cherchez où faire de la plongée sous-marine à Sitia, vous êtes tombé sur l’un des derniers secrets bien gardés de la Méditerranée. Ici, à l’extrémité orientale de la Crète, les eaux cristallines abritent des récifs vierges, des épaves chargées d’histoire et des grottes sous-marines où la lumière danse comme dans une cathédrale. Les plongeurs expérimentés le savent : Sitia n’est pas juste une alternative à Elounda ou à Chania, c’est une expérience à part, où l’aventure sous-marine se marie avec une culture locale préservée, entre raki partagé et fêtes traditionnelles.

Imaginez : vous émerger après une plongée pour déguster des dakos (la salade crétoise à base d’orge et de tomates séchées) dans une taverne en bord de mer, tandis que des pêcheurs rentrent avec leur prise du jour. Sitia, c’est ça : un mélange de spots de plongée exceptionnels et d’une authenticité qui résiste au tourisme de masse. Les centres PADI locaux, souvent tenus par des passionnés grecs ou expatriés, vous guideront vers des sites comme l’épave du MV Dionysios ou les canyons sous-marins de Karoumes, tout en vous racontant l’histoire maritime de la région, des Minoens aux pirates ottomans.

Entre épaves et grottes : les joyaux sous-marins de Sitia

Le premier spot qui fait battre le cœur des plongeurs est l’épave du MV Dionysios, un cargo coulé en 1972 à seulement 15 mètres de profondeur. Accessible aux plongeurs de niveau Advanced Open Water, ce site est un musée à ciel ouvert, où les bancs de barracudas et de mérous évoluent entre les restes rouillés de la coque. Les guides locaux, comme ceux du Sitia Dive Center (un des rares centres 5 étoiles PADI de la région), expliquent souvent comment cette épave est devenue un écosystème florissant, symbole de la résilience de la mer Égée. À quelques coups de palmes, la grotte de Trapeza offre une autre expérience : une cathédrale sous-marine où les jeux de lumière, filtrés par 20 mètres d’eau, transforment les parois en une toile abstraite.

Mais Sitia ne se résume pas à ses épaves. Les plongeurs en quête de biodiversité se dirigeront vers les récifs de Karoumes, un labyrinthe de rochers et de canyons où se cachent des murènes, des poulpes et même, si vous avez de la chance, des phoques moines (une espèce protégée en Méditerranée). Ici, pas de foule : les sites sont souvent déserts, à l’image de la côte sauvage de Sitia. Après la plongée, ne manquez pas de visiter l’atelier d’un potier local à Mochlos, un village voisin connu pour sa céramique traditionnelle, ou de goûter aux sfakianes pites (des crêpes crétoises fourrées au fromage) dans une kafeneio (café traditionnel) du port. La plongée à Sitia, c’est aussi ça : une immersion totale, sous et au-dessus de l’eau.

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À l’extrême est de la Crète, là où les montagnes du Díkti plongent dans la mer comme des géants fatigués, Sitía se love entre des collines arides et un bleu marine si profond qu’il en devient presque menaçant. Ce n’est pas la Crète des clubs bondés et des all-inclusive clinquants—ici, le tourisme a encore le goût du sel et de l’huile d’olive pressée à la main. Les pêcheurs rentrent à l’aube avec des sargues et des dentis dans leurs filets, tandis que les vieillards jouent au tavli (backgammon) sous les platanes de la place Eleftherios Venizelos, une tasse de raki à portée de main. Pour les plongeurs, Sitía est une révélation : une côte déchiquetée, des eaux transparentes jusqu’à 30 mètres, et une vie marine qui n’a pas encore fui les excès du tourisme de masse.

Les meilleurs centres de plongée à Sitia pour débutants se concentrent autour du port et de la baie de Kouremenos, où les vents sont rares et les fonds peu profonds. Le Crete Dive Center, tenu par un Franco-Grec du nom de Nikos, propose des baptêmes de plongée à 50€ avec un moniteur pour deux personnes—un tarif honnête pour une expérience qui vous fera frôler des bancs de chromis (petits poissons bleus) et des murènes timides. Plus au sud, près de la plage de Itanos, le East Crete Diving mise sur des cours pour débutants en petit groupe, avec une attention particulière aux enfants (à partir de 8 ans). Les instructeurs, souvent des locaux, racontent entre deux exercices comment la mer a façonné leur vie—entre la pêche traditionnelles et les légendes de naufrages ottomans.

Mais attention : ici, la plongée n’est pas qu’une activité, c’est une porte d’entrée vers l’histoire submergée de la région. Les vieux du village vous parleront des spongariá (pêcheurs d’éponges) qui, jusqu’aux années 1980, plongeaient en apnée avec des scaphandres rudimentaires en cuir, risquant la paralysie pour quelques drachmes. Aujourd’hui, leurs petits-enfants guident les touristes vers des spots où l’on croise encore des éponges sauvages, accrochées aux parois comme des joyaux bruns.

Si vous avez déjà un niveau Advanced Open Water, Sitía se transforme en terrain de jeu historique. À 15 minutes en bateau depuis le port, l’épave du Diana, un cargo grec coulé en 1943, gît entre 18 et 30 mètres de fond. Recouverte de gorgones et de coraux mous, sa coque abrite des mérous géants et des bancs de barracudas qui tournent autour comme des sentinelles. Plus au large, près de l’île de Mochlos, les plongeurs expérimentés explorent les grottes sous-marines de Kavousi, où des stalactites fossilisées racontent 5 000 ans d’histoire géologique. Attention : ces sites sont réservés aux centres agréés, comme Dive Crete, qui organise des excursions avec briefing géologique inclus.

Mais le vrai secret de Sitía, ce sont ses spiliés (grottes en crétois). Celle de Trypiti, accessible depuis la plage du même nom, est un labyrinthe de tunnels où la lumière filtre à travers des fissures, créant des jeux d’ombre dignes d’une cathédrale. Les locaux y plongeaient autrefois pour récupérer des amphores romaines—aujourd’hui, on y croise des langoustes et, si on a de la chance, une tortue marine endormie dans une alcôve. L’équipement requis ? Une lampe frontale puissante (les locations coûtent 10-15€/jour) et un guide qui connaît les courants capricieux.

Plongeur explorant la grotte sous-marine de Trypiti à Sitia, Crète, avec jeu de lumière naturelle
La cathédrale bleue de Trypiti, où la lumière danse sur les parois calcaires depuis des millénaires

Si vous pensez avoir tout vu de Sitía en journée, attendez la nuit. La plongée de nuit ici est une expérience presque mystique. Les centres comme Crete Dive Center organisent des sorties au coucher du soleil (comptez 65-80€ avec équipement et lampe). À 10 mètres sous la surface, le monde change : les murènes sortent de leurs trous, les pieuvres chassent à découvert, et les crevettes lucifères transforment l’eau en une galaxie miniature. Le spot le plus prisé ? La baie de Kouremenos, où un récif artificiel (des blocs de béton colonisés par la vie marine) attire des raies pastenagues après 22h.

Un conseil : goûtez avant de plonger au ouzo local (le Platsa en sert un excellent, distillé à Sitía même) pour vous réchauffer—mais pas trop, hein. Les Crétois appellent ça le „kalo kardi“ („bon cœur“), une façon de dire que tout est mieux avec un peu d’alcool et beaucoup de convivialité. Et si vous croisez un pêcheur de nuit sur le port, demandez-lui de vous montrer ses „sfouggato“ (beignets d’algues séchées) : c’est un régal bizarrement addictif, à déguster avec du citron et une pincée de sel.

„Ici, la mer n’est pas un décor. C’est une histoire qui se répète chaque jour, comme les vagues sur les rochers. Les épaves ne sont pas que du métal rouillé—ce sont les tombes de nos grands-pères, ou les trésors qu’ils n’ont pas pu remonter.“

— Manolis, pêcheur et plongeur à la retraite, 72 ans, rencontrée au café Oasis de Sitía.

Parlons argent, parce que même en Crète, les rêves ont un prix. Les tarifs des excursions plongée à Sitía varient selon la saison et le niveau. Un forfait 1/2 journée (2 plongées + équipement) coûte entre 70€ et 90€ en haute saison (juillet-août), contre 50-60€ en mai ou septembre. Les forfaits journée complète (3 plongées + déjeuner sur le bateau) grimpent à 120-150€, mais incluent souvent des extras comme la visite d’une taverna isolée—par exemple, chez Tzanis à Mochlos, où l’on sert des „hohlioi“ (escargots de mer) marinés dans du vinaigre et de l’ail.

Pour économiser, misez sur les „package deals“ : certains centres proposent 5 plongées pour 200€ si vous réservez à l’avance. Et si vous voyagez en famille, combinez plongée et snorkeling—les enfants adorent nager avec les poissons près de la plage de Vai, où les palmiers (les seuls d’Europe !) offrent une ombre bienvenue. Un itinéraire idéal pour les familles : commencer par un baptême de plongée à Kouremenos le matin, puis pique-niquer sous les palmiers de Vai l’après-midi, avant de finir la journée en snorkelant près des rochers de Erimoupoli, où les poissons-perroquets sont aussi colorés que les tissus vendus au marché de Sitía.

À 25 km à l’est de Sitía, la plage de Vai est un cliché vivant : sable blanc, eaux turquoise, et une forêt de Phoenix theophrastii (les fameuses palmiers crétois) qui bruissent sous le vent. Mais derrière cette image d’Épinal se cache un écosystème marin riche, idéal pour combiner plongée et snorkeling. Les rochers à l’extrémité est de la baie abritent des hippocampes (oui, des chevaux de mer !) et des nudibranches aux couleurs psychédéliques. Les locaux appellent cet endroit „to mikró akvário“ („le petit aquarium“), et c’est exactement ça : un monde miniature où même les enfants peuvent observer des poissons sans aller plus profond que leurs genoux.

Pour les familles, voici un itinéraire testé et approuvé :

  1. Matin : Baptême de plongée à Kouremenos (1h30, 50€/pers.).
  2. Midi : Déjeuner chez Taverna Vai (essayez les „dakos“, une salade crétoise à base de biscuit d’orge, tomates et myzithra, un fromage local).
  3. Après-midi : Snorkeling près des rochers de Erimoupoli (location de masques : 8€/jour).
  4. Soir : Dîner au village de Palaikastro, où la „gamopilafo“ (riz cuit dans du bouillon d’agneau) est un must.

Bonus : en août, ne manquez pas la „Panigiri“ (fête du village) de Ziros, où l’on danse le „pentozali“ (une danse crétoise guerrière) jusqu’à l’aube, au son des lyras et des laouto (instruments traditionnels). Les plongeurs y sont toujours les bienvenus—après tout, comme dit le proverbe crétois, „Oi thalassinoi den fovountai tipota“ („Ceux de la mer ne craignent rien“).

Entre deux plongées, flânez dans les ruelles de Sitía pour découvrir un artisanat qui résiste à la standardisation. Chez „To Ergastiri“ (l’Atelier), une coopérative de femmes tisse des „mandiliá“ (serviettes brodées) avec des motifs inspirés des vagues et des éponges. Les plongeurs repartent souvent avec des bijoux en „mataki“ (l’œil bleu grec), fabriqués par Manolis le Bijoutier—un ancien pêcheur qui recycle les filets usagés en pendentifs. Et si vous croisez un vieux avec un chapeau en feutre, c’est probablement un „sfakian“ (habitant des montagnes) venu vendre son „raki“ maison ou son miel de thym. Un pot de ce dernier, glissé dans votre valise, rappellera les parfums de maquis bien après votre retour.

Petit conseil : si on vous propose un „stafidopsomo“ (pain aux raisins secs) chez le boulanger „O Fournos tou Giorgou“, acceptez. C’est le carburant idéal avant une plongée matinale. Et si vous repartez avec une bouteille d’huile d’olive „throuba“ (pressée à froid, avec des olives tombées naturellement de l’arbre), vous aurez un morceau de Sitía dans votre cuisine—et une excuse pour revenir.

Sitía n’est pas seulement un spot de plongée. C’est un endroit où la mer et la montagne se disputent l’attention, où l’on passe des récifs coralliens aux gorges de Richtis (où une cascade se jette dans la mer) en moins d’une heure de route. C’est une région où les „kleftes“ (brigands-héros de la résistance contre les Ottomans) se cachaient dans les grottes que vous explorez aujourd’hui, et où les „mantinades“ (poèmes improvisés) racontent encore leurs exploits. C’est un coin de Crète où l’on vous servira du vin dans un verre en plastique, mais où ce vin aura été foulé aux pieds dans une cuve en pierre par le grand-père du tavernier.

Alors oui, venez pour les épaves et grottes sous-marines, pour les murènes et pieuvres de la plongée de nuit, ou pour les tarifs abordables des excursions. Mais restez pour les histoires, les saveurs, et cette sensation tenace que, ici, la Méditerranée n’a pas encore tout livré de ses secrets. Et si vous croisez un vieux plongeur crétois qui vous offre un verre de raki en disant „Stin ygeia mas!“ („À notre santé !“), trinquez sans hésiter. Vous êtes désormais un peu de Sitía.

La Crète hors des sentiers battus : quand l’île se dévoile entre mer Égée et montagnes sauvages

Il y a deux façons de découvrir la Crète : celle des all-inclusive alignés comme des dominos le long de la côte nord, où les buffets regorgent de moussaka surgelée et où l’on vous sert du raki comme on distribue des prospectus pour des excursions en bateau vers Spinalonga (qui, soit dit en passant, méritent amplement le détour). Et puis, il y a l’autre Crète—celle qui se cache derrière les oliviers centenaires, qui murmure dans les kafeneia enfumés des villages de montagne, et qui explose en couleurs lors des fêtes de Pâques orthodoxes, quand les habitants de Sitia ou d’Ierapetra dansent le pentozali jusqu’à l’aube, les pieds nus sur les pavés usés par les siècles.

Prenez la route vers l’est, loin des foules d’Hersonissos, et vous tomberez sur des trésors comme les gorges de Zakros, un canyon sauvage où l’eau a sculpté la roche pendant des millénaires, et où les kri-kri (ces bouquetins crètois aussi agiles qu’espiègles) vous observent depuis les crêtes. Ici, pas de boutiques de souvenirs, mais des mitata—ces abris de pierre où les bergers fabriquent encore du myzithra, un fromage de brebis frais qui fond dans la bouche comme un nuage salé. Si vous avez de la chance, un vieux pappous (grand-père) vous offrira une tranche de staka (une crème aigre locale) tartinée sur du pain dur, arrosée d’un filet d’huile d’olive throuba, cette variété rare et poivrée qui pousse seulement dans les collines autour de Vai. Kali orexi, comme on dit ici—bon appétit, mais surtout, bonne aventure.

La mer, elle, n’est jamais bien loin. À Rethymnon, évitez la plage bondée devant la vieille ville (même si ses tavernes valent le détour pour leurs kalitsounia, ces petits chaussons fourrés à la courge ou au fromage) et prenez plutôt la direction des criques secrètes. Les plages près de Rethymnon comme Preveli—avec sa palmeraie où les hippies des années 70 plantaient leurs tentes—ou Triopetra, où les falaises de grès rose plongent dans une eau turquoise, sont des sanctuaires de tranquillité. Mais si vous voulez vraiment comprendre l’âme marine de la Crète, plongez. Littéralement. Les fonds autour de Sitia abritent des épaves romaines, des grottes sous-marines comme celle de Voila, et des récifs où les dentis (des daurades géantes) tournent comme des ombres argentées. Les clubs locaux, comme ceux listés sur le site officiel de Sitia, organisent des baptêmes pour les novices—et croyez-moi, il n’y a rien de plus humiliant (ni de plus jouissif) que de se faire doubler par un poisson-lune alors que vous luttez pour ajuster votre masque.

La Crète, c’est aussi une île où le temps semble s’étirer comme de la halva (ce dessert à base de sésame qui colle aux doigts). Dans les villages de l’arrière-pays, comme Anogeia ou Zoniana, les hommes jouent encore au tavli (backgammon) sous les platanes, tandis que les femmes tissent des kopaneli—ces tapis traditionnels aux motifs géométriques qui racontent des histoires de mariages, de vendettas et de récoltes. Si vous passez par Margarites, arrêtez-vous dans un atelier de poterie : les artisans y façonnent des stamnagathi (des jarres à vin) selon des techniques transmises depuis l’époque minoenne, avec une argile rougeâtre qui sent la terre après la pluie. Et si on vous propose de goûter leur stifado (un ragoût de lapin aux petits oignons), refusez à vos risques et périls—c’est le genre de plat qui vous fait oublier que vous aviez prévu de faire régime en rentrant.

Pour finir, voici quelques pépites qui méritent un détour—même si elles ne figurent pas toujours dans les guides :

  • Le monastère d’Arkadi : Un symbole de la résistance crétoise contre les Ottomans, où l’histoire se mêle à une architecture à couper le souffle. Les moines y distillent aussi une tsikoudia (une eau-de-vie de raisin) qui vous réchauffera mieux qu’un pull en laine.
  • Le village de Mochlos : Un petit port de pêche où les tables des tavernes sont posées sur des pontons flottants. Commandez des ochtapodi stifado (poulpe mijoté) et regardez les pêcheurs réparer leurs filets en maudissant (gentiment) les touristes.
  • Les grottes de Milatos : Accessibles en bateau depuis Sissi, ces cavernes ont servi de refuge aux insurgés pendant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, elles abritent des colonies de chauves-souris et une acoustique parfaite pour chanter du rizitika (des chants traditionnels) comme un ivre.
  • La fête du Kazantzakis à Myrtia : Chaque été, ce village célèbre son enfant chéri, l’écrivain Nikos Kazantzakis, avec des lectures, du théâtre et assez de vin pour noyer les souvenirs de Zorba le Grec (qu’il a pourtant immortalisé).
  • Les plages de Koufonisi : Une île déserte (ou presque) où le sable est si fin qu’il chante sous vos pas. Parfait pour un pique-nique de dakos (une salade de pain dur, tomate et fromage) et une sieste sous les tamaris.

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