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Où dormir à Antiparos : 10 hébergements de charme pour tous les budgets proches des plages

Posted on 26 novembre 2025

Antiparos n’est pas cette île grecque que l’on arpente par hasard. C’est un choix, presque une déclaration d’amour aux Cyclades d’autrefois : des ruelles poussiéreuses où l’on croise plus de chats que de touristes, des plages de sable blanc bordées d’eaux turquoise où les pécheurs locaux lancent encore leurs filets à l’aube, et une lumière dorée qui semble filtrée par des siècles d’histoire. Où dormir à Antiparos devient alors une question existentielle – ou presque. Car ici, l’hébergement n’est pas qu’un point de chute, mais une porte d’entrée vers l’âme de l’île, entre glenti (les fameuses lentilles locales) partagées dans une taverne sans prétention et les nuits étoilées où l’on entend encore les chansons de rebetiko s’échapper des bars du port.

L’île, grande comme un confetti perdu entre Paros et la mer Égée, se traverse en une poignée de minutes en scooter – mais c’est justement cette petite taille qui la rend si précieuse. Pas de resorts surpeuplés, pas de clubs bruyants : seulement des hébergements de charme blottis dans des oliveraies centenaires ou perchés sur des collines offrant une vue à couper le souffle sur le golfe de Soros. Que vous soyez un routard en quête d’une chambre d’hôtes à 30€ la nuit ou un épicurien prêt à dévaliser votre compte pour une villa avec piscine privée, Antiparos joue les caméléons. Et puis, il y a cette magie des détails : les portes bleues écaillées par le sel, les vieux pressoirs à vin transformés en suites design, ou les petits-déjeuners servis avec du miel de thym récolté deux rues plus haut.

Entre criques sauvages et villages endormis : l’art de bien choisir

Si vous pensez que dormir à Antiparos près des plages signifie forcément sacrifier l’authenticité, détrompez-vous. Prenez Psaralyki, cette plage de sable fin où les dunes abritent des cabanes en bois louées par des familles grecques depuis des générations. Ici, pas de transats alignés comme à Mykonos, mais des parasols en paille tressée et des loukoumades (beignets au miel) vendus par des grand-mères depuis leur cuisine de fortune. À l’autre bout de l’île, Soros et sa baie en croissant de lune attirent les amateurs de kitesurf et les couples en quête de couchers de soleil instagrammables – mais ses alentours regorgent de studios discrets, comme ceux de la Pension Marigo, où le petit-déjeuner est servi sous une treille de vigne avec vue sur la mer.

Pourtant, le vrai secret d’Antiparos réside peut-être dans son arrière-pays, où les collines rocailleuses cachent des hébergements insolites comme des kamares (maisons voûtées traditionnelles) rénovées avec un sens aigu du minimalisme cycladique. Prenez le village de Kastro, un dédale de maisons blanches accrochées à la colline, où l’on dort dans des chambres d’hôtes comme To Kastro, avec des murs en pierre apparente et des terrasses donnant sur la mer Égée. Ici, les soirées se passent à siroter de l’ouzo en regardant les pêcheurs rentrer au port, ou à déguster une moussaka revisitée dans l’une des deux tavernes du village. Et si l’envie vous prend de plonger dans l’histoire, la grotte d’Antiparos – où des inscriptions byzantines côtoient des stalactites scintillantes – n’est qu’à quelques minutes en vélo.

Couverture du livre Guide Grèce Lonely Planet
Guide : Grèce de Lonely Planet

Ce guide repensé propose une approche moderne et visuelle de la Grèce, combinant sites emblématiques (Acropole, Météores, Delphes, Rhodes) et expériences authentiques au contact des habitants, avec des itinéraires adaptés à tous les budgets et saisons. Il offre une large gamme d’activités de plein air, notamment randonnée et sports nautiques, ainsi que des chapitres dédiés aux îles grecques et aux croisières pour une découverte complète du pays. Richement illustré et doté de cartes claires, ce guide synthétique permet de construire facilement son voyage tout en maximisant les expériences locales et les découvertes hors des sentiers battus.

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Antiparos, l’île grecque où le temps s’étire entre criques secrètes et kafenio ombragés

Il y a des îles grecques qui vous frappent par leur verticalité – Santorin et ses falaises dramatiques, Mykonos avec ses moulins à vent photographiés à outrance – et puis il y a Antiparos, ce confetti de terre posé à quelques encablures de Paros, où tout semble s’être arrangé pour que le visiteur oublie l’heure. Ici, pas de caldera spectaculaire, mais des plages de sable fin qui s’étirent comme des promesses (Sorós, Psaralíki, avec leurs eaux turquoise où l’on distingue les pieds à dix mètres de profondeur), des villages blancs aux ruelles si étroites que deux ânes ne peuvent s’y croiser, et cette lumière dorée qui fait ressembler chaque coucher de soleil à une peinture de naïf local.

Pourtant, Antiparos n’est pas une île hors du temps par accident. Elle a résisté, discrètement, à la frénésie touristique qui a transformé certaines Cyclades en parcs d’attractions estivaux. Les habitants – environ 1 200 à l’année – vous le diront avec un haussement d’épaules : ici, on préfère les tavernes familiales (comme To Kyma à Agios Georgios, où la moussaka est recouverte d’une béchamel si légère qu’elle en devient presque aérée) aux restaurants instagrammables, et les fêtes locales (comme la Panigíria de la Vierge Marie en août, où l’on danse le syrtáki jusqu’à l’aube) aux beach clubs surpeuplés. Même les hôtels boutique – et Dieu sait qu’il y en a de magnifiques – se fondent dans le paysage, comme s’ils avaient toujours été là.

Prenez The Rooster, un hôtel boutique niché près de la plage de Sorós : ses suites avec piscine privée et vue sur la mer Égée sont conçues comme des cabanes chic, avec des murs en pierre apparente et des terrasses ombragées par des bougainvilliers. Les avis des clients insistent souvent sur le petit-déjeuner – des spanakópita (feuilletés à l’épinard) encore tièdes, des figues fraîches cueillies dans le jardin, et un café grec si fort qu’il pourrait réveiller un matelot en permission. À comparer avec Antiparos Cave Luxury Suites, creusé à flanc de colline comme un repaire de pirate moderne, où les baignoires en pierre donnent directement sur l’horizon. Les tarifs ? Comptez entre 250€ et 500€ la nuit en haute saison (juillet-août), avec des early bird discounts si vous réservez avant avril.

Entre Airbnb de pêcheur et villas de rêve : où poser ses valises selon son humeur (et son budget)

Antiparos est une île de contrastes, et cela se reflète dans son offre d’hébergements. Vous voulez du glamour discret ? Direction les villas avec piscine du quartier de Kambos, où les propriétés en pierre blanche – comme Villa Asteri (6 chambres, jardin méditerranéen, piscine à débordement) – se louent entre 800€ et 1 500€ la semaine en juillet. Les familles nombreuses adorent ce coin pour son calme et ses plages peu profondes, idéales pour les enfants. À l’inverse, si vous cherchez l’authenticité sans chichis, les locations Airbnb autour du port ou dans le village principal offrent des studios à partir de 50€ la nuit – comme la maison de pêcheur de Mános, avec sa cuisine équipée et sa terrasse donnant sur les bateaux de pêche qui rentrent à l’aube.

Mais attention : Antiparos n’est pas une île où l’on improvise son séjour. Les meilleures périodes pour réserver un hébergement ? Mai-juin et septembre-octobre, quand les températures oscillent entre 25°C et 30°C, que les prix chutent de 30% par rapport à l’été, et que les locaux ont enfin le temps de discuter avec vous. En juillet-août, les disponibilités se raréfient – surtout pour les hébergements adaptés aux groupes (comme Pounta Beach Houses, qui propose des bungalows pour 8 personnes à deux pas de la plage de Pounta, réputée pour ses vagues et son ambiance surfer). Pro tip : si vous visez un camping ou glamping, réservez dès février – les emplacements au Camping Antiparos (le seul officiel de l’île, avec ses tentes safari et son accès direct à la plage) partent comme des loukoums en été.

Pour les voyageurs en quête de nature, le glamping est une option de plus en plus prisée. Eco Villas Antiparos propose des dômes géodésiques avec toit ouvrant pour dormir à la belle étoile (à partir de 120€ la nuit), tandis que les puristes opteront pour le camping sauvage (toléré en dehors des zones protégées, comme près de la cave d’Antiparos, un site archéologique méconnu où l’on trouve des graffiti datant du XVIIIe siècle). Attention cependant : l’île n’a ni rivière ni source, et l’eau est une ressource précieuse – les campeurs sont donc priés de limiter leur consommation (les douches sont souvent à l’eau de mer dans les campings).

Les quartiers d’Antiparos : entre animation estivale et retreat méditerranéen

Le choix de votre quartier à Antiparos dépendra de votre tolérance au bruit – ou plutôt, à son absence. Le village principal (Chóra) est le cœur battant de l’île, avec ses kafeneía (comme le Café Leon, où les anciens jouent au tavlí sous un platanus centenaire) et ses boutiques d’artisanat local (ne repartez pas sans un fouká, ce vase en céramique traditionnel utilisé pour conserver l’huile d’olive). Mais si vous cherchez le calme absolu, dirigez-vous vers Agios Georgios, un hameau de pêcheurs où les locations de vacances sont souvent des maisons en pierre avec des cours intérieures ombragées. Ici, le seul bruit que vous entendrez sera celui des cloches des chèvres qui broutent les collines.

À l’opposé, Pounta est le quartier branché de l’île, surtout depuis que les kitesurfeurs ont découvert ses vents constants. Les villas modernes y côtoient des beach bars comme Sushi Bar Pounta (oui, vous avez bien lu : un sushi bar en Grèce, et étrangement, ça marche), et l’ambiance y est résolument internationale. Les prix des locations y sont plus élevés (comptez 200€ à 400€ la nuit pour une villa avec piscine), mais la vie nocturne – si tant est qu’Antiparos en ait une – s’y concentre.

« Antiparos, c’est comme une métaphore de la Grèce d’avant le tourisme de masse. Les vieux grecs disent que c’est ici que Poséidon a caché son trident après avoir créé les Cyclades. Je ne sais pas si c’est vrai, mais une chose est sûre : quand vous marchez sur les sentiers de l’île au crépuscule, vous comprenez pourquoi les dieux auraient choisi cet endroit pour se reposer. »

— Kostas, propriétaire de To Kyma et troisième génération d’Antipariotes

Hébergements pour tribus, clans et autres groupes joyeux : où loger à 10 (sans se marcher sur les pieds)

Voyager en groupe ou en famille nombreuse à Antiparos est un délice – à condition de bien choisir son hébergement. Les villas avec plusieurs chambres sont légion, mais certaines sortent du lot, comme Villa Aloni (5 chambres, piscine, et un four à bois pour des soirées pizza-party maison), ou Captain’s House, une ancienne demeure de marin transformée en guesthouse avec des lits superposés pour les enfants et une terrasse assez grande pour accueillir un barbecue de 20 personnes. Les tarifs ? Entre 300€ et 600€ la nuit en haute saison, mais avec des réductions pour les séjours longs (> 7 jours).

Pour les groupes qui veulent allier confort et aventure, les complexes de bungalows comme Pounta Beach Houses sont parfaits : chaque unité est indépendante (avec kitchenette et terrasse), mais elles sont regroupées autour d’une piscine commune et d’un espace lounge avec hamacs. Idéal pour les fêtes entre amis – à condition de respecter les règles locales (le bruit doit cesser à minuit, et les fêtes improvisées sur la plage sont tolérées… tant qu’elles ne dérangent pas les tortues marines qui pondent leurs œufs dans le sable).

Les pièges à éviter (et les coups de cœur à voler)

Premier piège : sous-estimer les distances. Antiparos est petite (35 km²), mais les routes sont étroites, sinueuses, et souvent partagées avec des troupeaux de chèvres. Louer une voiture est presque indispensable (comptez 40-60€/jour en haute saison), sauf si vous logez près du port. Deuxième erreur : négliger les périodes de réservation. Les Grecs eux-mêmes réservent leurs vacances d’été un an à l’avance, et les meilleurs hébergements (surtout les hôtels boutique avec piscine et les villas en front de mer) sont pris d’assaut dès janvier. Enfin, méfiez-vous des locations « trop bon marché » : certaines maisons traditionnelles n’ont pas de climatisation (un détail crucial en août, quand les températures frôlent les 40°C).

Côté coups de cœur, voici ceux que les locaux nous ont chuchotés : La Luna Rossa, une trattoria tenue par un Italien marié à une Antipariote, où les pâtes aux oursins sont à tomber ; la plage secrète de Vathi (accessible seulement à pied ou en bateau, avec une eau si transparente qu’on dirait du verre) ; et le musée d’Art Moderne (oui, il en existe un !), caché dans une ancienne école, où sont exposées des œuvres d’artistes grecs contemporains inspirés par la lumière de l’île. Et si vous croisez un vieux monsieur vendant des tomates et des concombres sur le bord de la route, arrêtez-vous : ce sont probablement les meilleurs de votre vie.

Antiparos hors saison : quand l’île se dévoile (et que les prix s’effondrent)

Visiter Antiparos en hors saison (de novembre à mars), c’est découvrir une île radicalement différente. Les prix des hébergements chutent de 50 à 70% (on trouve des hôtels boutique à moins de 100€ la nuit, et des villas à 500€ la semaine), les plages sont désertes, et les locaux ont enfin le temps de vous raconter des histoires – comme celle du pirate Barbarossa, qui aurait caché un trésor dans la cave d’Antiparos (une grotte spectaculaire de 411 marches, où les stalactites ressemblent à des draperies de marbre).

Bien sûr, tout n’est pas rose : certains restaurants et boutiques ferment, les ferries sont moins fréquents (un par jour depuis Paros), et le vent peut être glacial en janvier. Mais c’est aussi la période où l’île révèle son âme. Les fêtes religieuses (comme la Saint-Nicolas en décembre, où les pêcheurs bénissent leurs bateaux) prennent une dimension presque mystique, et les locations de vacances se transforment en refuges pour écrivains en mal d’inspiration. À condition d’aimer le silence – et de supporter l’idée que, parfois, le soleil ne soit pas au rendez-vous.

Antiparos : l’île où le temps s’étire comme une ombre sous le kavá de l’après-midi

Il y a des endroits où l’on débarque en pensant y passer deux jours, et où l’on se surprend, trois semaines plus tard, à discuter philosophie avec un pêcheur nommé Yórgos tout en épluchant des agouriá (les concombres locaux, croquants comme des pommes) sous une treille de vigne. Antiparos est de ceux-là. Cette petite sœur méconnue de Paros, accessible en 10 minutes de ferry depuis Pounta, est un de ces rares coins des Cyclades où le tourisme de masse n’a pas encore tout aplati sous ses sandales. Ici, pas de clubbing qui défigure les nuits, pas de boutiques de luxe clignotantes comme à Mykonos. Juste des ruelles blanches éblouissantes, des tavernes où l’on sert encore du pitaroudia (beignets de pois chiches) fait maison, et des plages où le seul bruit est celui des vagues léchant les galets. Pour ceux qui cherchent 5 expériences inoubliables à Antiparos, préparez-vous à un choc de lenteur bienfaisante.

Prenez la grotte d’Antiparos, par exemple. Découverte au XVIIIe siècle et explorée par des archéologues français (dont un certain Fauvel, aussi tenace qu’un limier), cette caverne de stalactites et stalagmites est un chef-d’œuvre géologique qui sent bon l’aventure. Les locaux racontent que les pirates s’y cachaient, que les Ottomans y ont laissé des trésors (jamais retrouvés, bien sûr), et que les kalikántzari—ces lutins malicieux du folklore grec—y dansent encore les nuits de pleine lune. La visite, guidée par des passionnés qui connaissent chaque recoin, est un voyage dans le temps, entre mythes et réalité. Et si vous croisez María, la gardienne du site, demandez-lui de vous montrer la « salle des Noël » (oui, ça s’appelle vraiment comme ça) : ses formations rocheuses ressemblent à des sapins couverts de givre. Un spectacle à couper le souffle, surtout quand on sait que la température inside frôle les 15°C alors qu’il fait 40° dehors.

Mais Antiparos, c’est aussi une île où la mer est reine. Pas les plages bondées de transats et de DJ sets, non : ici, on parle de criques secrètes accessibles après une randonnée entre les genévriers et les thyms sauvages. Prenez Psaralíki, par exemple, une baie où l’eau est si transparente qu’on dirait du verre liquide, ou Apántima, où les falaises de marbre plongent dans une eau turquoise peuplée de sarges (ces poissons argentés qui fuient à votre approche). Les locaux y viennent tôt le matin, avec des paniers en osier remplis de tyrópsomo (un pain au fromage à faire pâlir d’envie un Parisien) et des bouteilles de raki maison. Pour les plus aventureux, notre sélection de 7 criques paradisiaques vous mènera loin des sentiers battus—et peut-être même jusqu’à Campíngas, une plage où les hippies des années 70 ont laissé leur empreinte (et quelques fresques psychédéliques sur les rochers).

Et puis, il y a cette magie sociale qui opère à Antiparos, surtout l’été. Les fêtes locales, comme la Panigíri de Agios Ioánnis (le 24 juin), transforment le village en une scène géante où l’on danse le syrtáki jusqu’à l’aube, entre deux verres de vin assýrtiko et des assiettes de sofrito (un ragoût de veau à l’ail, divinement fondant). Les artisans, eux, perpétuent des savoir-faire anciens : les potiers de Kástro façonnent encore des pitharia (jarres en terre cuite) comme au temps des Vénitiens, et les tisserands de Sorós vendent des flókates (tapis en laine) aux motifs géométriques hypnotiques. Si vous cherchez où dormir, évitez les resorts impersonnels : optez pour une guesthouse tenue par une famille locale, comme Pension Rémvi (où la grand-mère vous gâtera avec des melomakárona faits maison) ou un Airbnb dans les collines, où le seul luxe est le silence. Pour les options, Booking et Greeka listent des pépites, mais le vrai secret ? Demander aux pêcheurs du port—they always know.

Avant de partir, voici quelques must-do (et must-eat) pour ne rien rater de l’âme d’Antiparos. Parce qu’une île comme celle-ci ne se visite pas—elle se vit, lentement, entre deux siestes et trois verres d’ouzo.

  • Goûter le ladeniá chez To Kyma : cette tarte fine à l’huile d’olive et aux oignons caramélisés est une spécialité locale, à déguster avec une bière Fix bien fraîche.
  • Assister à un concert au Antiparos International Music Festival (juillet-août) : des artistes classiques jouent dans des églises byzantines—l’acoustique est divine, et l’ambiance, électrisante.
  • Acheter de l’huile d’olive chez Biolea : pressée à froid, avec des olives cultivées sans pesticide, elle a un goût de noisette qui vous hantera longtemps.
  • Louer un bateau à Sifneikos pour explorer les côtes : même sans permis, vous pouvez naviguer jusqu’à l’îlot Despotikó, un site archéologique sauvage.
  • Boire un café grec chez Kafeneío o Ágios : le vieux kafeneío du village, où les anciens jouent au távli (backgammon) en buvant leur ellinikó serré comme de l’encre.

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