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Iles Odyssee
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Bateau traditionnel thaï naviguant entre les karsts de Phang Nga Bay à l'aube, eaux turquoise et falaises calcaires

Excursion vers l’île de James Bond et Phang Nga en 1 jour : guide complet

Posted on 15 octobre 2025

Il y a des lieux qui hantent l’imaginaire bien avant qu’on ne les foules de ses propres pas. L’excursion vers l’île de James Bond et la baie de Phang Nga en fait partie : ce décor surréaliste de pitons calcaires jaillissant d’une mer émeraude, rendu célèbre par L’Homme au pistolet d’or, est bien plus qu’une carte postale. C’est un écosystème fragile, un théâtre de légendes locales, et – avouons-le – un terrain de jeu pour touristes en quête d’aventure instagrammable. Mais derrière les clichés se cache une réalité bien plus riche : des villages de pêcheurs musulmans (oui, en Thaïlande), une cuisine méconnue où le khao mok gai (riz au curry et poulet) rivalise avec les fruits de mer, et des grottes où les moines bouddhistes méditaient bien avant que 007 ne pose le pied ici.

Organiser cette excursion en une journée relève du défi logistique – entre les long-tails boats qui zigzaguent entre les rochers, les marées qui dictent les horaires, et les hordes de visiteurs débarquant de Phuket ou Krabi. Pourtant, avec un peu de ruse (et ce guide), on peut éviter la cohue de Koh Ping Kan (l’île de James Bond officielle) pour découvrir des criques secrètes comme Hong Island, où l’eau est si transparente qu’on dirait du verre liquide. Et puis, il y a cette lumière… Cette lumière dorée du matin qui frappe les falaises de Phang Nga Bay comme un projecteur divin, transformant le calcaire en or. Préparez-vous : ce n’est pas qu’une balade en bateau, c’est une plongée dans le ventre mythique de la Thaïlande du Sud.

Entre karsts et villages flottants : l’âme cachée de Phang Nga

La baie de Phang Nga, c’est d’abord une géologie spectaculaire : 42 îles de calcaire vieilles de 250 millions d’années, sculptées par les pluies de mousson et les vagues. Les locaux appellent ces formations “hao” (montagnes en thaï), mais pour les géologues, ce sont des karsts – des paysages où la roche soluble a été érodée en dentelles. Parmi eux, Koh Tapu (“l’île du Clou”), ce champignon de pierre qui défie les lois de la gravité, est devenu l’emblème malgré lui de la région. Pourtant, bien avant les touristes, ces eaux abritaient des communautés Urak Lawoi, un peuple nomade de la mer aujourd’hui sédentarisé dans des villages comme Koh Panyee, où les maisons sur pilotis abritent des familles depuis trois générations. Ici, on vit au rythme des marées : les enfants jouent entre les planches des passerelles, les femmes tissent des filets en fibres de pandan, et les hommes partent pêcher au lever du soleil.

Mais Phang Nga, ce n’est pas que des paysages à couper le souffle – c’est aussi une culture culinaire méconnue. Oubliez les pad thaïs standardisés : ici, on mange du gaeng som, une soupe aigre-épicée à base de tamarin et de poisson frais, ou des hoi tod (huîtres frites à la farine de riz), servis dans des échoppes flottantes près de Tha Len. Les fêtes locales, comme le Festival des Bateaux-Dragons (en octobre), transforment la baie en arène de courses effrénées, où les équipes s’affrontent au son des tambours. Et puis, il y a l’artisanat : les sculptures sur bois de takien (un arbre local), vendues au marché de Takua Pa, ou les batiks colorés fabriqués par les femmes du village. Une excursion vers l’île de James Bond qui se respecte doit inclure ces arrêts – sinon, vous ne verrez que la coquille vide du décor.

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Koh Tapu et la baie de Phang Nga : comment réserver un tour en bateau depuis Phuket sans se faire arnaquer

Si vous avez déjà feuilleté un guide sur la Thaïlande, vous avez probablement vu cette photo : un piton calcaire surgissant des eaux turquoise comme un champignon géant, couronné par une poignée d’arbres têtus. Bienvenue à Koh Tapu (ou Île du Clou, pour les locaux), le joyau géologique de la baie de Phang Nga, rendu célèbre par L’Homme au pistolet d’or en 1974. Réserver un tour depuis Phuket vers ce décor de carte postale relève parfois du parcours du combattant, entre agences douteuses et promesses trop belles. Voici comment s’y prendre sans finir dans un long-tail boat bondé ou avec un déjeuner composé de poulet caoutchouteux.

D’abord, oubliez les stands sur Patong Beach où des vendeurs en chemise hawaïenne vous jurent des « private tours » à prix d’or. Privilégiez les agences réputées comme Phuket Sail Tours ou Simba Sea Trips, qui proposent des excursions en petits groupes (12-15 personnes max) avec des bateaux speedboat ou des junks traditionnels en teck. Comptez entre 2 500 et 4 000 THB par personne pour une journée complète, incluant le transfert depuis votre hôtel, le déjeuner, et les frais d’entrée au parc national d’Ao Phang Nga. Les itinéraires sérieux incluent toujours Koh Panyee, le village musulman sur pilotis, et Hong Island, une lagune secrète accessible en kayak.

Petit conseil d’initiés : si vous voulez éviter la cohue, évitez la haute saison (décembre à mars), quand les croisiéristes débarquent par vagues. Avril, mai ou septembre sont idéaux – moins de monde, une mer plus calme, et des tarifs négociables. Et oui, on peut marchander en Thaïlande, mais avec le sourire et sans agressivité. Un « mai pen rai » (l’équivalent local de « pas de souci ») accompagné d’un sourire désarmant fait souvent baisser les prix de 10 à 15%.

Tarifs et itinéraires pour visiter la baie de Phang Nga en groupe : entre lagons cachés et villages flottants

Parlons peu, parlons bien : un bon itinéraire dans la baie de Phang Nga, c’est comme un pad thaï bien équilibré – il faut du croquant (les falaises de calcaire), du fondant (les lagons), et une touche d’inattendu (les grottes marines). La plupart des tours partent du port de Ao Por ou de Surin Beach vers 8h, avec un premier arrêt à Koh Panak, où les stalactites de la grotte de Diamond scintillent comme des lustres naturels. Ensuite, direction Hong Island (à ne pas confondre avec les Hong Islands de Krabi) pour une session de kayak dans des eaux si claires que vous verrez les poissons-clowns jouer à cache-cache entre les coraux.

Le clou du spectacle ? Koh Panyee, ce village de pêcheurs musulmans construit sur des pilotis en 1785 par des nomades de la mer Moken. Aujourd’hui, c’est un dédale de maisons en bois, de mosquées aux minarets dorés, et de restaurants où l’on sert un khao mok gai (riz biryani thaï) à tomber. Goûtez-le chez Ruan Thai Seafood, une échoppe flottante où les crevettes sont grillées à la perfection sur des barques en bambou. Et si vous avez de la chance, vous tomberez sur un match de takraw (volley thaï avec un ballon en rotin), sport local aussi acrobatique que spectaculaire.

Kayakistes explorant une lagune émeraude entourée de falaises calcaires sous un ciel dégagé
La lagune secrète de Hong Island, accessible uniquement en kayak ou à marée basse

Pour les groupes, les tours en big boat (catamaran ou ferry) sont plus économiques (1 800 à 2 200 THB/pers.), mais moins flexibles. Si vous êtes entre amis ou en famille, optez pour un private charter (à partir de 12 000 THB pour 6 personnes). Vous pourrez ainsi ajuster l’itinéraire – par exemple, ajouter une visite à Tham Lod (la grotte du vent), où les formations rocheuses ressemblent à des dragons endormis, ou faire un détour par Koh Yao Noi pour voir les long-tails peints à la main par les artisans locaux.

Meilleure saison pour explorer l’île de James Bond sans la foule : entre moussons et secrets bien gardés

Koh Tapu, alias James Bond Island, est un aimant à touristes. Mais saviez-vous que les Thaïlandais l’appellent aussi Koh Khao Phing Kan (l’île des collines penchées) ? La légende raconte que ces pitons seraient les restes d’un géant pétrifié par Bouddha pour avoir trop mangé de khanom chan (un dessert à la noix de coco). Pour éviter la foule, visez la période de mai à octobre – oui, c’est la mousson, mais les averses sont courtes et la baie se vide comme par magie. Les locaux appellent ça « la saison des fantômes », car les sites sont si tranquilles qu’on croirait les avoir pour soi.

Un autre avantage de la basse saison ? Les prix chutent de 30%, et les guides ont enfin le temps de vous raconter l’histoire des Urak Lawoi’, ces « gens de la mer » semi-nomades qui vivaient dans les grottes de la baie avant d’être sédentarisés. Leur savoir-faire en matière de batik (tissus teints) et de poterie est encore visible à Ban Laem Pho, un village près de Krabi. Et si vous passez en novembre, vous tomberez peut-être sur le Festival des Lumières de Phang Nga, où des milliers de lanternes khom loi s’élèvent dans le ciel au-dessus des falaises.

« Les touristes viennent pour James Bond, mais ils repartent en parlant des Urak Lawoi’ et des grottes qui chantent. La vraie magie de Phang Nga, c’est ce qu’on ne voit pas sur les prospectus. »

— Somchai, guide local et ancien pêcheur de crabes

Où déjeuner sur un bateau traditionnel lors de l’excursion : entre pad thaï flottant et fruits de mer grillés

Manger sur un bateau en Thaïlande, c’est un peu comme jouer à la roulette russe… culinaire. Certains tours vous serviront un buffet triste (riz gluant + poulet douteux), mais d’autres transforment le repas en expérience. Cherchez les excursions qui incluent un déjeuner à bord d’un junk en teck, comme ceux de Phang Nga Bay Tours. Leur menu ? Un som tam (salade de papaye verte) piquant à souhait, des hoi tod (huîtres frites à l’ail) croustillantes, et un gaeng daeng (curry rouge) qui vous fera oublier les sauces en sachet.

Pour une touche encore plus locale, demandez à votre guide de faire un arrêt à Koh Panyee pour acheter des khanom jeen (nouilles de riz servies avec une sauce au curry de poisson) chez Nok’s Kitchen, une cantine flottante tenue par une matriarche qui cuisine depuis 40 ans. Et si vous avez un faible pour les fruits de mer, goûtez les hoy shell (coquillages grillés au citron vert et piment) vendus par les enfants du village sur des plateaux en bambou. Pro tip : emportez des nam prik pao (pâte de piment grillé) pour pimenter votre repas – les Thaïlandais adorent quand les étrangers osent le feu.

Activités complémentaires : kayak dans les grottes ou visite des ateliers de batik à Koh Yao Noi

Si vous en avez marre de vous prélasser (oui, c’est possible), la baie de Phang Nga offre des activités qui sortent des sentiers battus. Le kayak est roi ici, surtout dans les hongs (lagons intérieurs) de Hong Island ou Koh Lao Lading, où l’eau est si transparente qu’on dirait de l’air. Les tours sérieux fournissent des kayaks sit-on-top stables et des gilets de sauvetage – vérifiez bien, car certains loueurs peu scrupuleux vous refileront des embarcations dignes de la baignoire de votre enfant.

Pour une immersion culturelle, faites un détour par Koh Yao Noi, une île où le temps s’est arrêté. Là, les femmes du village de Ban Thapao perpétuent l’art du batik, en teignant des étoffes avec des motifs inspirés des vagues et des coraux. Vous pouvez même participer à un atelier (comptez 500 THB pour un foulard fait main). Et si vous êtes là un vendredi, ne manquez pas le marché de Ban Ao Khao Kwai, où les agriculteurs vendent des durians (le fruit qui sent l’enfer mais goûtte le paradis) et des rambutans aussi sucrés que des bonbons.

Les grottes marines de Phang Nga : où l’aventure rencontre la spiritualité locale

Les grottes de la baie ne sont pas que des attractions touristiques – ce sont des lieux sacrés. Tham Lod (la grotte du vent) abrite un petit sanctuaire bouddhiste où les pêcheurs viennent déposer des offrandes de khao tom (soupe de riz) pour apaiser les esprits des eaux. À Tham Phung Chang (la grotte de l’éléphant), vous trouverez des peintures rupestres vieilles de 3 000 ans, représentant des bateaux et des animaux. Les guides locaux, comme Khun Anan (un ancien moine devenu expert en spéléologie), racontent que ces dessins étaient des cartes pour les Moken, qui naviguaient sans boussole.

Pour explorer ces grottes, équipement obligatoire : une lampe frontale (les locations sur place sont souvent défectueuses) et des chaussures antidérapantes. Certaines, comme Tham Khao Ma, ne sont accessibles qu’à marée basse – vérifiez les horaires avec votre guide. Et si vous avez le vertige, évitez Tham Phraya Nak, où il faut grimper une échelle de bambou pour atteindre une chambre secrète ornée de stalactites en forme de lotus. Mais le jeu en vaut la chandelle : au sommet, la vue sur la baie est à couper le souffle, surtout au coucher du soleil, quand les falaises s’embrasent comme des braises.

Phuket après le coucher de soleil : quand la magie opère et que les secrets s’éveillent

Le soleil a plongé derrière la pointe de Promthep, teintant la mer d’Andaman d’un pourpre mélancolique, comme si les dieux thaïs avaient renversé leur bol de nam prik kung (cette sauce piquante aux crevettes qui accompagne tout, même les regrets). Les touristes, ivres de selfies et de Singha tiède, regagnent leurs resorts climatisés, laissant derrière eux une île qui, enfin, respire. C’est l’heure où Phuket se dévoile : non plus la carte postale lissée par les brochures, mais un territoire grésillant de vie locale, où les moto-taxis slaloment entre les étals de khanom jeen (ces nouilles de riz servies avec un curry vert à faire pleurer un buffle) et les temples illuminés comme des sapins de Noël bouddhistes. Si vous pensiez tout savoir de Phuket après avoir bu un cocktail en forme de seau sur Bangla Road, accrochez-vous. La vraie aventure commence quand les néons s’allument et que les ombres s’étirent.

Prenez la route côtière vers Rawai, là où les pêcheurs chao ley (les « gens de la mer », cette minorité nomade aux croyances animistes) rentrent avec leurs prises du jour. Le marché nocturne de Naka n’est pas celui que vous trouverez dans les guides : ici, pas de pad thaï édulcoré pour les palais occidentaux, mais des hoi tod (beignets de palourdes croustillants) cuits à la perfection dans des woks noircis par des décennies de graisse et de feu. Entre deux bouchées, observez les vieilles femmes qui vendent des bai sri su khwan — ces petits paniers en feuilles de bananier remplis de fleurs, de riz et de pièces, destinés à apaiser les esprits. Phuket n’est pas qu’une île, c’est un carrefour de superstitions : chinois, malais, thaïs et chao ley coexistent depuis des siècles, et chaque communauté a laissé sa trace, des autels taoïstes aux longtails boats peints de motifs protecteurs. Pour une immersion totale, osez un détour par les villages de pêcheurs de Koh Yao Noi, où le temps semble s’être arrêté entre deux marées.

Et puis il y a les nuits où Phuket se fait salaeng — ce mot thaï qui signifie à la fois « improvisé » et « un peu bordélique », mais toujours avec style. Dans les ruelles derrière Patong, loin des clubs qui crachent du reggae version karaoké, des bars clandestins servent du sato (un alcool de riz distillé qui vous arrache les souvenirs… ou vous en crée de nouveaux). C’est là que vous croiserez peut-être Lek, un ancien boxeur muay thaï reconverti en DJ, qui mixe du luk thung (la country thaïlandaise) avec du hip-hop des années 90, le tout en sirotant un cha yen (thé glacé) coupé au whisky local. Les murs sont couverts de posters de films thaïs des années 70, ces mélodrames sanglants où les héros meurent en héroïne après avoir vengé leur honneur. La culture pop thaïe est un mélange détonant de kitsch et de tragédie, un peu comme Phuket elle-même : une île qui a survécu aux tsunamis, au tourisme de masse et aux crises politiques, mais qui garde une résilience à toute épreuve. Pour une expérience encore plus insolite, pourquoi ne pas passer la nuit dans une maison sur pilotis à Koh Kai, où le seul bruit qui troublera votre sommeil sera celui des vagues et des crabes fuyant vos pas ?

Mais Phuket, c’est aussi une porte d’entrée vers des terres moins explorées. À une heure de route, la province de Phang Nga s’étire comme une dormeuse oubliée. Ici, les karsts calcaires, ces falaises sculptées par des millions d’années d’érosion, émergent des eaux turquoise comme des dragons endormis. Le parc national d’Ao Phang Nga est un labyrinthe aquatique où les pêcheurs locaux vous raconteront — entre deux gorgées de café noir sucré — comment les pirates malais s’y cachaient autrefois. Les grottes de Tham Lod abritent encore des peintures rupestres vieilles de 3 000 ans, tandis que sur les marchés de Takua Pa, on trouve des krabi pang ma (crabes de palétuvier) cuits dans une sauce au tamarin qui vous fera oublier les homards bretons. Pour les plus aventureux, une excursion vers les îles Similan (accessibles depuis Khao Lak) révèle des fonds marins où nagent encore des plong — ces poissons-lunes géants que les locaux considèrent comme des esprits gardiens. Phuket n’est qu’un début : c’est toute une région qui palpite, entre mysticisme et modernité, tradition et audace.

Alors, avant de boucler vos valises (ou de commander un autre mango sticky rice en vous promettant de faire du sport « demain »), voici quelques pépites à ne surtout pas manquer. Parce que Phuket, comme un bon curry, se déguste lentement, avec toutes ses nuances :

  • Assister à un combat de coqs à Thalang (oui, c’est controversé, mais c’est une tradition vieille de 200 ans, et les paris vont bon train entre les anciens du village).
  • Goûter le khao yam chez Raan Je Lay à Phuket Town : une salade de riz aux herbes, noix de coco râpée et crevettes séchées, si équilibrée qu’elle en devient presque philosophique.
  • Visiter l’atelier de batik de Ban Boran, où des artisans perpétuent l’art du tissu teint à la cire, une technique importée par les marchands malais il y a des siècles.
  • Participer à la fête de Vegetarian Festival (en octobre), où les fidèles marchent sur des charbons ardents et se percent les joues avec des épées… pour purifier leur karma. Spoiler : ce n’est pas pour les âmes sensibles.
  • Louer un longtail boat pour explorer les hongs (lagons cachés) de Phang Nga Bay, où l’eau est si transparente qu’on dirait du verre liquide.

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