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Iles Odyssee
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Enfant jouant dans l'eau turquoise d'une plage de sable doré près de Réthymnon, avec des palmiers et des falaises en arrière-plan sous un ciel bleu azur.

5 plages paradisiaques près de Réthymnon pour des vacances en famille

Posted on 18 septembre 2025

Il y a des endroits où la mer semble avoir été peinte à la main, où le sable chaud caresse les pieds des enfants et où l’odeur des bougatsa (ces beignets crétois fourrés à la crème) se mêle au sel marin. Réthymnon, cette perle vénitienne de la Crète, en regorge. Mais au-delà de son vieux port pittoresque et de ses ruelles pavées, c’est sur son littoral que la magie opère vraiment. Ici, les 5 plages paradisiaques près de Réthymnon pour des vacances en famille ne sont pas de simples étendues de sable : ce sont des écrins où l’on apprend à compter les vagues en grec, où les grands-parents locaux offrent des figues fraîches aux enfants, et où l’histoire—des pirates ottomans aux pêcheurs d’aujourd’hui—se raconte entre deux baignades.

La Crète n’est pas seulement une île, c’est une philosophie : celle d’un temps qui s’étire sous l’ombrelle, entre deux bouchées de dakos (salade crétoise à base de biscuit d’orge) et des siestes bercées par le lyra, ce violon traditionnel dont les notes aigres-douces résonnent dans les tavernes du bord de mer. Choix cornélien pour les parents : opter pour une plage animée où les enfants construiront des châteaux de sable entre deux parties de tavli (backgammon) avec les locaux, ou une crique secrète où l’on ne croise que des tortues marines et des pêcheurs rentrant avec leur prise du jour. Spoiler : avec notre sélection, vous n’aurez pas à trancher. Et si vous tombez sur une fête de village un soir d’été—avec ses danses pentozali endiablées et son vin raki coulant à flots—considérez que c’est la Crète qui vous adopte.

Entre sable doré et légendes crétoises : l’âme des plages de Réthymnon

Prenez Plage de Preveli, par exemple—un nom qui fait rêver les guides touristiques depuis des décennies. Ici, la rivière Kourtaliotiko serpente à travers une gorge avant de se jeter dans la mer de Libye, créant une lagune où les palmiers (oui, en Crète !) se mirent dans des eaux si transparentes qu’on dirait du verre fondu. Les enfants adoreront barbotter près des canards sauvages, tandis que vous, vous vous demanderez comment un paysage aussi théâtral a pu échapper aux radars du tourisme de masse. La réponse ? Une route sinueuse qui décourage les bus de croisière, et une légende tenace : celle du monastère de Preveli, refuge de résistants pendant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, les moines y vendent encore du miel et de l’huile d’olive—deux trésors à rapporter, avec le souvenir d’une plage où l’histoire et la nature s’embrassent.

Plus à l’est, Plage de Bali (à ne pas confondre avec l’île indonésienne) est un petit bijou de baies successives, chacune avec sa propre personnalité. La première, bordée de tavernes aux terrasses en bois, sent bon le calamar grillé et les frites de patates douces—un régal pour les petits ventres affamés. La deuxième, plus sauvage, abrite des grottes marines où les ados aimeront explorer avec masque et tuba (attention aux oursins, ces petits pièges épineux que les Crétois appellent akínides). Et la troisième ? Un spot de windsurf où les ados pourront prendre des cours avec des instructeurs locaux—des types bronzés qui parlent un anglais approximatif mais savent lire dans le vent comme dans un livre ouvert. Le soir, ne manquez pas le coucher de soleil depuis la chapelle Agios Georgios, perchée sur un rocher : c’est là que les familles du coin viennent allumer un cierge… et partager un verre de rakomelo (raki chaud au miel) en regardant l’horizon s’embraser.

Couverture du livre Crète Guide Lonely Planet
Crète Guide Lonely Planet

Découvrez la Crète autrement avec ce guide entièrement repensé ! Des plages paradisiaques d’Elafonissi aux mystères du palais de Cnossos, en passant par le charme vénitien de La Canée, ce compagnon de voyage vous ouvre les portes d’une immersion totale dans l’âme crétoise.
Ce guide vous séduira par ses itinéraires malins adaptés à tous budgets et saisons, ses secrets locaux pour des expériences authentiques, et ses focus dédiés à la randonnée et aux sports nautiques. L’histoire crétoise prend vie à travers 15 sites emblématiques, tandis que la cuisine locale révèle ses trésors santé. Un véritable concentré d’aventures pour transformer votre séjour en odyssée insulaire inoubliable !

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La plage de Preveli avec palmiers : un paradis sauvage entre mythes et transats (accès, tarifs et activités pour enfants)

Imaginez une rivière serpentant à travers des gorges arides, se jetant dans la mer Libyenne sous une forêt de palmiers theophrastes — ces géants préhistoriques qui survivent ici depuis l’Antiquité. La plage de Preveli, ou Palm Beach pour les brochures touristiques, est l’un de ces lieux où la Crète joue les divas capricieuses : sauvage et inaccessible pour les uns, paradis familial pour les autres. L’accès se mérite : après une route sinueuse depuis Plakias (comptez 30 minutes en voiture, ou un trajet en bateau depuis Agia Galini), vous atterrissez sur un parking payant (5€ en 2024) d’où part un sentier escarpé de 20 minutes. Conseil : prévoyez des chaussures fermées et de l’eau. Les enfants adorent l’aventure, mais les pentes caillouteuses testent les nerfs des parents.

Une fois sur place, la récompense est à la hauteur de l’effort. Les palmiers, endémiques à la Crète, forment une canopée naturelle sous laquelle les familles pique-niquent à l’ombre. Les activités pour enfants incluent la baignade dans les eaux peu profondes de la rivière (attention aux courants près de l’embouchure) ou la chasse aux crabes dans les rochers. Les transats ? Une dizaine seulement, loués 10-12€ la journée par des locaux qui montent le matériel à dos de mulet. Oui, des mulets. En haute saison, arrivez avant 10h pour éviter la cohue. Et si vous croyez aux légendes, sachez que les habitants racontent que ces palmiers poussent grâce aux larmes d’une nymphe… ou aux graines apportées par des pirates arabes. À vous de choisir.

Pour les plus aventureux, une randonnée remonte la gorge de Kourtaliotiko (2h aller-retour), où les parois calcaires abritent des aigles royaux. Les Crétois appellent cet endroit « le lieu où le vent parle » — une référence aux sifflements étranges qui traversent les rochers. Si vous préférez les activités nautiques, des kayaks sont parfois disponibles à la location (20-25€/h), mais vérifiez la météo : les vagues peuvent devenir traîtresses l’après-midi. Petit plus culturel : en septembre, la fête locale de Panagia (Notre-Dame) transforme le monastère voisin en scène de danses traditionnelles, avec des lyra (violons crétois) et des mantinades (poèmes improvisés). Un spectacle bien loin des animations des clubs de plage.

Falassarna : où louer des transats pas chers en 2024 (et pourquoi les Crétois vous regarderont avec pitié)

La plage de Falassarna, avec son sable rose et ses eaux turquoise, est un incontournable des cartes postales crétoises. Mais derrière ce décor de rêve se cache une réalité moins glamour : en juillet-août, les transats se transforment en champ de bataille. Les prix ? Entre 8€ et 15€ la journée selon l’emplacement, avec une inflation notable près des beach bars branchés comme Sunset ou Captain’s Table. Pour éviter de payer le prix fort, dirigez-vous vers l’extrémité ouest de la plage, où des familles locales louent des matelas et parasols pour 5-7€ — souvent sans chaises longues, mais avec une vue imprenable sur le coucher de soleil.

Le vrai secret pour économiser ? Apportez votre propre équipement. Les Crétois, eux, arrivent avec des glacières, des nattes en paille tressée (achetées au marché de Kissamos pour 10€) et des parasols de jardin. Vous comprendrez leur regard amusé quand vous sortirez votre portefeuille pour un transat. Autre astuce : les tavernes en bord de route (comme Gramvousa) proposent souvent des transats gratuits si vous commandez un repas. Essayez les apaki (porc fumé) ou les sfakianes pites (crêpes au fromage) — des plats qui coûtent 3-4€ de moins qu’en front de mer.

Famille crétoise pique-niquant sur la plage de Falassarna au coucher du soleil avec parasol artisanal
Un dîner improvisé à Falassarna : quand les locaux transforment la plage en salon à ciel ouvert.

Falassarna n’est pas qu’une plage : c’est aussi un site archéologique méconnu. Les ruines de l’ancienne cité portuaire (IVe siècle av. J.-C.) se cachent derrière les dunes, avec des thermes romains et un temple dédié à Artémis Dictynna. L’entrée est libre, et les enfants adorent jouer aux explorateurs parmi les colonnes renversées. Petit conseil : combinez la visite avec un détour par le lagoon de Balos (à 45 minutes en voiture), où les flamingos roses se mêlent aux baigneurs. Mais attention, la route est un chemin de terre chaotique — un 4×4 n’est pas obligatoire, mais votre location économique risque de protester.

Les meilleurs spots de stand-up paddle près de Réthymnon pour débutants (et où éviter les méduses)

Réthymnon, avec son port vénitien et ses ruelles ottomanes, est aussi la capitale secrète du stand-up paddle (SUP) en Crète. Pour les débutants, la baie de Petres (à 10 minutes du centre) offre des eaux calmes et peu profondes, idéales pour s’initier. Les locations chez Cretan SUP (20€/h avec cours) incluent un briefing sécurité — crucial, car les vents meltemi peuvent survenir brutalement l’après-midi. À éviter : la zone près de la forteresse Fortezza, où les courants sont imprévisibles et les rochers affleurants.

Pour une expérience plus authentique, rejoignez les pêcheurs locaux à Skaleta, un village de pêcheurs à 15 km à l’est. Ici, les eaux sont si claires que vous verrez des dentis (daurades) nager sous votre planche. Les restaurants de poisson frais comme Taverna Oasis (12-18€ le plat) servent des gavros (anchois) marinés dans du vinaigre de raisin — un délice à déguster après l’effort. Attention aux méduses en août : les locaux utilisent du vinaigre pour les piqûres, mais évitez les zones près des égouts (oui, ça existe même en Crète).

« Le SUP, c’est comme la vie en Crète : il faut savoir garder l’équilibre entre le vent qui pousse et la mer qui tire. Et toujours garder un œil sur l’horizon. »

— Kostas, pêcheur et moniteur de paddle à Skaleta, entre deux verres de raki.

Un itinéraire en voiture fou : Réthymnon → Balos et Elafonissi en 1 jour (avec arrêts gourmands et paysages à couper le souffle)

Prêt pour un road-trip crétois qui vous fera maudire les nids-de-poule mais adorera vos rétines ? Partez tôt de Réthymnon (6h du matin, avant la chaleur) et prenez la route côtière vers l’ouest. Premier arrêt : Kourna, le seul lac naturel de Crète, où les kayaks se louent 10€/h. Ici, les pélicans pêchent à quelques mètres des baigneurs — un spectacle qui justifie le détour. Ensuite, direction Balos (1h30 de route), où la lagune aux eaux émeraude est accessible après une randonnée de 30 minutes (ou un bateau depuis Kissamos, 10€ aller-retour). Prévoyez des sandales aquatiques : le sable est brûlant, et les oursins adorent les rochers près du rivage.

Après Balos, reprenez la voiture pour Elafonissi (1h de route), célèbre pour son sable rose et ses eaux peu profondes. Mais voici le piège : tout le monde s’y précipite à midi. Pour éviter la foule, arrivez vers 15h, quand les touristes repartent. Les transats coûtent 8€, mais les parasols naturels (les tamaris) sont gratuits. Ne manquez pas la petite île accessible à pied à marée basse, où les dauphins viennent parfois jouer au coucher du soleil. Pour le retour, faites une pause à Topolia, un village de montagne connu pour ses sfakia pites (crêpes au miel et fromage) et sa taverne To Stachi (comptez 15€/personne).

Où manger du poisson frais en bord de mer à Réthymnon (sans se ruiner ni tomber dans le piège à touristes)

Réthymnon regorge de restaurants de poisson, mais tous ne se valent pas. Évitez les établissements du port avec des menus traduits en 10 langues et des serveurs trop souriants. Préférez Taverna Knossos (rue Arkadiou), où les poulpes grillés (14€) sont marinés dans de l’huile d’olive locale et du romarin. Autre adresse secrète : Oinohoos, une échoppe sans prétention près de la plage de Perivolia, où les sardines farcies (8€) sont servies avec une salade de purslane (une plante sauvage crétoise). Les prix moyens tournent autour de 12-20€ par personne, boisson incluse — à condition de commander du vin local (un carignan à 3€ le verre) plutôt que de la bière importée.

Pour une expérience 100% authentique, rendez-vous au marché aux poissons (près du vieux port, tôt le matin) et achetez votre dîner directement aux pêcheurs. Un barbounia (rouget) coûte 5-7€/kg, et les restaurants comme Avli (rue Ethnikis Antistaseos) le cuisineront pour vous pour 5€ de plus. Le vrai luxe ? Déguster un psarosoupa (soupe de poisson) en regardant les pêcheurs réparer leurs filets, comme si le temps s’était arrêté quelque part entre 1950 et aujourd’hui.

L’artisanat local à Réthymnon : entre souvenirs kitsch et trésors cachés

Les ruelles de la vieille ville de Réthymnon regorgent de boutiques d’artisanat, mais attention aux attrape-touristes. Évitez les « vrais couteaux crétois » made in China et dirigez-vous vers l’atelier Kerameion (rue Vernardou), où la poterie est fabriquée selon des méthodes byzantines. Une assiette peinte à la main coûte 20-30€ — un investissement qui durera plus longtemps qu’un magnet. Pour les textiles, Fytoria propose des mandiles (tapis tissés) en laine de mouton local (40-60€), bien loin des napperons synthétiques vendus sur le port.

Si vous visitez en juillet-août, ne manquez pas le Festival Renaissance de Réthymnon, où les artisans exposent leurs travaux dans les ruelles éclairées aux lanternes. Entre deux stands, goûtez les loukoumades (beignets au miel) chez Koum Kouat — une recette inchangée depuis l’époque vénitienne. Et si on vous propose un verre de raki maison, acceptez : c’est soit un geste d’hospitalité, soit le début d’une soirée où vous finirez par danser le pentozali avec des inconnus. Les deux options sont excellentes.

La Crète et les Îles Éoliennes : quand la légende rencontre le quotidien

Il y a des endroits où le mythe et le café du matin se mélangent comme l’ouzo dans un verre d’eau glacée—la Crète et les Îles Éoliennes en sont les parfaits exemples. À Rethymno, entre les ruelles ottomanes où sèchent des piments rouges comme des lanternes et les tavernes où l’on sert des dakos (ces biscuits d’orge garnis de tomate et de myzithra, un fromage local si frais qu’il en croque), on comprend vite que la Crète n’est pas qu’une île, mais un état d’esprit. Les vieux pêcheurs jouent au tavli (backgammon) sous les platanes de la place Mikrasiaton, tandis que des adolescents en scooter klaxonnent en passant devant l’ancienne mosquée Neratzé, transformée en conservatoire de musique. Ici, l’histoire ne se visite pas—elle se vit, entre deux bouchées de kalitsounia fourrés à la courge.

Prenez la route vers le sud, et vous tomberez sur la plage de Preveli, où la rivière Kourtaliotis se jette dans la mer Libyenne en dessinant une palmeraie qui ressemble à une carte postale oubliée des années 1970. Les hippies y ont laissé des traces—littéralement, sous forme de graffitis « Peace & Love » sur les rochers—but today, ce sont surtout des familles crétoises qui y pique-niquent avec des paniers remplis de sfakianes pites (crêpes fourrées au fromage) et de figues fraîches. Ne vous attendez pas à un silence monastique : entre les cris des enfants, les transats qui grincent et les vendeurs ambulants proposant des loukoumades (beignets au miel) encore fumants, Preveli est un joyeux bordel organisé. Et c’est ça, la magie. Pour ceux qui préfèrent l’aventure aux serviette-éponge, les randonnées sur le Stromboli ou le Vulcano, dans les Îles Éoliennes, offrent un contraste saisissant—là-bas, c’est le soufre qui sent, pas le grillé de sardines.

Les Îles Éoliennes, elles, sont un archipel où chaque île a le caractère d’un personnage de roman. Lipari, la matriarche, avec son château médiéval et ses boutiques d’obsidienne (une pierre volcanique noire que les artisans locaux taillent en bijoux depuis l’Âge du Bronze). Salina, la gourmande, où les vignes en terrasses produisent un Malvasia doux comme un coucher de soleil, et où les restaurants servent des capperi (câpres) si puissants qu’ils vous font oublier votre prénom. Et puis il y a Stromboli, le rebelle, avec son volcan qui grogne comme un estomac affamé. Goûter aux Îles Éoliennes, c’est comprendre que la cuisine y est une affaire sérieuse : des pane cunzatu (pain garni de tomates, anchois et origan) aux granita à l’amande amère, chaque bouchée raconte une histoire de pêcheurs, de paysans et de grand-mères qui ne lâchent jamais leurs recettes. « Si tu veux la vraie recette, épouse-moi », m’a lancé une vieille dame à Pollara, en me tendant un morceau de torta di ricotta encore tiède. J’ai décliné—mais j’ai gardé la recette.

Ce qui frappe, dans ces deux destinations, c’est comment elles résistent au temps sans se prendre au sérieux. En Crète, les fêtes de village (panigiria) transforment les places en arènes de danse où l’on boit du vin marouvas (un rouge corsé) en écrasant des assiettées de gamopilafo (riz cuit dans du bouillon d’agneau). Aux Éoliennes, les processions religieuses, comme celle de San Bartolomeo à Lipari, mêlent solennité et joyeuse pagaille, entre pétarades de feux d’artifice et enfants courant avec des bougies allumées. Le tourisme ici n’est pas une industrie—c’est une conversation. Un échange où l’on vous demandera d’où vous venez, pourquoi vous n’êtes pas marié, et si vous préférez le raki ou la grappa, avant même de vous proposer une excursion. À La Canée, j’ai passé une soirée à discuter politique avec un vieux berger qui tricotait des chaussettes en laine de mouton tout en maudissant « ces fichus touristes qui ne savent même pas écosser des fèves ». Le lendemain, il m’a offert un sac de horta (herbes sauvages) cueillies à l’aube. Voilà la Crète.

Alors, si vous partez, emportez autre chose que votre crème solaire :

  • Un carnet : pour noter les recettes volées, les noms des chats des tavernes (ils ont tous une histoire), et les itinéraires de bus qui ne figurent sur aucune carte.
  • De la patience : les horaires grecs sont une suggestion, les ferries un exercice de philosophie, et les « sigoura » (« bien sûr ») locaux souvent optimistes.
  • Un appétit insatiable : que ce soit pour les snails bourbouristi (escargots grillés à la menthe) de Crète ou les alici (anchois marinés) des Éoliennes, manger, c’est participer.
  • Un sens de l’humour : parce qu’à un moment donné, vous vous retrouverez coincé dans un village sans nom, à expliquer à un paysan pourquoi non, vous ne voulez pas acheter son âne. Spoiler : vous repartirez avec l’âne.

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