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Iles Odyssee
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Enfants thaïlandais et touristes jouant sur une plage déserte de Phuket en basse saison, entre casuarinas et longtail boats

5 plages de Phuket idéales pour les familles avec enfants en basse saison

Posted on 7 octobre 2025

Phuket, ce n’est pas qu’un décor de carte postale éculé ou un repaire pour backpackers en quête de full moon parties. Derrière les clichés se cachent des criques oubliées où la basse saison (mai à octobre) transforme l’île en un terrain de jeu idéal pour les familles. Ici, les 5 plages de Phuket idéales pour les familles avec enfants en basse saison ne se contentent pas d’offrir des eaux turquoise et du sable poudreux : elles révèlent une Thailande plus lente, plus généreuse, où les enfants barbotent à deux pas des pêcheurs réparant leurs filets ao nang dam (les paniers traditionnels en bambou). Les prix chutent, les sourires des locaux s’élargissent, et soudain, vous voila à déguster des khanom jeen (nouilles de riz au curry de poisson) sous un auvent de fortune, tandis que vos mômes construisent des châteaux de sable avec des enfants thaïs.

Mais attention, la basse saison à Phuket n’est pas une sinécure : les averses tropicales s’invitent sans prévenir, et la mer d’Andaman peut se faire capricieuse. Pourtant, c’est précisément ce qui rend ces plages familiales si précieuses. À Nai Yang, par exemple, les vagues douces caressent une baie bordée par le parc national de Sirinat, où les tortues marines pondent encore leurs œufs entre juin et février. Les enfants adorent les salapao (petits pains vapeur fourrés à la noix de coco) vendus par des mamies en sarong coloré, tandis que les parents sirotent un cha yen (thé glacé thaï) en observant les pêcheurs rentrer avec leur prise du jour. Ici, le tourisme de masse s’efface au profit d’une immersion douce-amère, entre modernité balnéaire et traditions peranakan (culture sino-malaise) encore vivaces.

Entre sable fin et légendes locales : où la basse saison révèle l’âme de Phuket

Prenez Mai Khao, cette plage sauvage de 11 km où les familles avec enfants peuvent courir sans craindre les jet-skis ou les vendeurs insistants. En basse saison, les bancs de sable émergent comme des îles éphémères, et les locaux vous raconteront peut-être l’histoire de Mae Ya Nang, la déesse-serpent vénérée dans les sanctuaires voisins pour protéger les pêcheurs. Les enfants adorent chercher des coquillages hoy (palourdes géantes) à marée basse, tandis que les parents se laissent tenter par un massage traditionnel sous les takien (cabanes en bois sur pilotis). À l’ombre des casuarinas, des familles thaïes pique-niquent autour de gaeng som (soupe aigre-épicée au poisson), un rappel que ces plages ne sont pas que des décors, mais des lieux de vie depuis des générations.

Plus au sud, Kata Noi offre un compromis parfait : assez animée pour éviter l’isolement, mais assez préservée pour échapper aux excès de Patong. En septembre, lors de la Fête des Fantômes Affamés (un festival bouddhiste où l’on nourrit les esprits des ancêtres), les plages se parent de lanternes flottantes, et les enfants thaïs lancent des krathongs (radeaux en feuilles de bananier) en riant. Les vôtres pourront s’initier au takraw (volley thaï avec une balle en rotin) avec des ados locaux, pendant que vous sirotez une noix de coco fraîche achetée à un marchand ambulant. Ici, la basse saison n’est pas une période morte, mais une parenthèse où Phuket se dévoile sans fard, entre longtails boats qui dansent sur les vagues et temples bouddhistes où les moines bénissent les filets des pêcheurs.

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Karon Beach : un paradis pour les familles entre sable doré et culture thaïlandaise vivante

Si vous cherchez une plage où les activités pour enfants rivalisent avec le charme authentique de la Thaïlande, Karon Beach à Phuket est un choix aussi judicieux qu’évident. Imaginez : 5 km de sable fin comme de la poudre de riz, bordés de casuarinas (ces arbres aux branches en aiguilles qui dansent sous le vent marin) et d’une mer turquoise où les vagues viennent mourir en chuchotant. Ici, pas besoin de se battre pour une place sous un parasol – l’espace est généreux, presque luxueux.

Les hébergements familiaux pullulent, du Centara Grand Beach Resort (avec ses piscines à débordement et son club enfants multilingue) aux guesthouses tenues par des familles locales, comme la Karon Sunset Bungalow, où l’on vous servira un khao tom (soupe de riz réconfortante) préparé par la grand-mère de la maison. Les Thais adorent les enfants – un nakleng (fantôme espiègle de la mythologie locale) en short aurait plus de mal à se faire accepter qu’un bambin étranger ici. Les petits sont chouchoutés, offerts de khanom chan (gâteaux en couches sucrées) par les marchands ambulants, et invités à participer aux fêtes de Loy Krathong en novembre, où ils lâchent des bateaux en feuilles de bananier flottants, chargés de fleurs et de bougies, sur les vagues du crépuscule.

Pour les parents en quête d’une pause, le Karon Temple Market (marché du wat Suwan Khiri Khet) est une plongée dans le Phuket d’avant le tourisme de masse. Entre les étals de rotis croustillants fourrés à la noix de coco et les artisans sculptant des salakot (chapeaux traditionnels en bambou), on y croise des moines en robe safran qui viennent y acheter leur gaeng som (curry aigre du Sud) pour le repas du soir. Un conseil : goûtez le oh tao, une soupe de nouilles au sang de canard, seulement si vous osez affronter le regard amusé des locaux quand vous demandez « mai phet » (« pas épicé », une requête presque sacrilège ici).

Nai Harn Beach et Laem Ka : l’équilibre parfait entre sécurité pour bébés et escapades secrètes

À l’extrémité sud de Phuket, Nai Harn Beach est la réponse divine aux prières des parents épuisés. Cette baie en forme de croissant, protégée par des collines couvertes de jungle, offre une sécurité idéale pour les familles avec bébés : pas de courants traître, des eaux peu profondes sur des dizaines de mètres, et un sable si doux qu’on dirait de la farine de maïs. Les services pour familles y sont discrets mais efficaces : le The Nai Harn (un hôtel-boutique) propose des lits bébés en bambou tissé et des purées de fak thong (courge thaïe) maison pour les tout-petits.

Ce qui frappe à Nai Harn, c’est l’absence de jet-skis hurlants ou de vendeurs insistants. À la place, des pêcheurs locaux réparent leurs filets à l’ombre des takien (arbres à bois noir), tandis que des macaques espiègles observent les baigneurs depuis les branches. Le lagoon side de la plage, où l’eau est presque stagnante, est un terrain de jeu idéal pour les bébés qui découvrent la mer. Les parents peuvent s’allonger sur des salas (pavillons ouverts en bambou) avec un cha yen (thé glacé thaï) en regardant leur progéniture s’ébrouer comme des éléphanteaux.

Famille pique-niquant sous des cocotiers à Nai Harn Beach, avec vue sur la baie calme et des jouets de plage colorés
L’ombre des cocotiers et le sable immaculé de Nai Harn, un havre pour les familles en quête de tranquillité.

À quelques minutes en tuk-tuk, Laem Ka Beach est le spot tranquille pour pique-niquer en bord de mer que vous ne trouverez pas dans les brochures. Cette petite crique, souvent déserte en semaine, est bordée d’une mangrove où les crabes violets jouent à cache-cache entre les racines. Les locaux viennent y griller des hai som (coquillages marinés au piment et à la citronnelle) sur des barbecues de fortune. Apportez un panier avec des khanom jeen (nouilles de riz fermentées) achetées au marché de Rawai, une nappe à carreaux, et vous aurez un déjeuner plus authentique que dans n’importe quel restaurant touristique.

« Ici, on ne dit pas aroy (délicieux) pour être poli. On le dit parce que c’est vrai, ou on se tait. La cuisine de Phuket, c’est comme ses plages : soit elle vous submerge, soit elle vous laisse indifférent. Il n’y a pas de demi-mesure. »

— Somchai, pêcheur et cuisinier improvisé à Laem Ka, entre deux gorgées de lao khao (alcool de riz)

L’art de ne rien faire (ou presque) : pique-nique et sieste sous les rukkaton

À Laem Ka, l’activité principale consiste à maîtriser l’art thaï de mai pen rai (« ce n’est pas grave »), allongé sous un rukkaton (arbre à ombre dense). Les enfants peuvent construire des châteaux de sable avec des coquillages en forme de hoy (conque sacrée), tandis que les parents somnolent en écoutant le clapotis et les cris des nok krajaab (oiseaux marins locaux). Si vous avez oublié votre pique-nique, le Laem Ka Seafood, un petit restaurant sur pilotis, sert des poo pad pong karee (crabes au curry jaune) à tomber, avec une vue imprenable sur les îles de Ko Man et Ko Bon.

Un détail qui compte : les toilettes publiques sont propres (un miracle en Thaïlande) et équipées de bum guns (douches WC) pour rincer les petits pieds sableux. Prévoyez quand même des lingettes – le sable de Laem Ka a une fâcheuse tendance à se glisser partout, comme une poudre magique qui rappelle que vous êtes bien en vacances.

Kata Beach : où les clubs pour enfants côtoient les vagues parfaites pour le bodyboard

Si Karon est la grande sœur raisonnable, Kata Beach est l’ado espiègle de la famille. Ici, les clubs pour enfants comme le Kata Kids Club (au Kata Beach Resort) proposent des ateliers de fabrication de krathongs (bateaux décoratifs) ou de peinture sur sao ching cha (poupées thaïes traditionnelles). Mais ce qui attire vraiment les familles, ce sont les sports nautiques adaptés : le spot de bodyboard près du rocher central (appelé Kata Yai par les locaux) offre des vagues douces mais excitantes, idéales pour les enfants à partir de 6 ans.

Les instructeurs du Kata Surf School (comme le légendaire Khun Ball, qui a appris à surfer à trois générations de touristes) utilisent des planches en mousse et des harnais de sécurité pour les débutants. Après l’effort, direction le Sarnies, un café australo-thaï qui sert des kaya toast (pain grillé à la noix de coco) et des smoothie bowls aux fruits tropicaux – la récompense parfaite pour les petits surfeurs en herbe. Le soir, ne manquez pas le spectacle des muay thaï (boxe thaïe) sur la plage : les enfants adorent imiter les coups de coude et de genou (sans danger, promis).

Entre deux vagues : découvrir l’âme de Kata à travers ses marchés et ses temples

Derrière la plage, le Kata Night Market est un festival de saveurs et de couleurs. Les enfants adorent les roti gluay (crêpes banane-nutella) et les look choop (fruits miniatures en gélatine, souvent en forme de mangues ou de durians). Pour les parents, c’est l’occasion de goûter des spécialités moins connues comme les khanom krok (mini-cocottes de riz et noix de coco) ou les moo ping (brochettes de porc marinées) du stand de P’Nok, une dame qui cuit ses viandes sur un barbecue fait à partir d’un ancien bidon d’huile.

À ne pas manquer : le Wat Kata, un temple bouddhiste où les moines organisent des meditation classes pour enfants (en thaï et en anglais). Les petits adorent nourrir les pla tuk taek (poissons sacrés du temple) avec des morceaux de pain, tandis que les parents peuvent discuter avec les moines de la philosophie du sufficiency economy (économie de suffisance), un concept cher au roi Bhumibol. Un moment de calme bienvenu avant de replonger dans l’effervescence de la plage.

Patong Beach avec enfants : survivre (et s’amuser) dans le cœur battant de Phuket

Oui, Patong Beach a la réputation d’être le repaire des fêtes débridées et des ping-pong shows douteux. Mais saviez-vous qu’elle cache aussi des zones calmes et des jeux en bord de plage parfaits pour les familles ? Le secret ? Éviter le centre et se diriger vers les extrémités nord ou sud. Près du Merlin Beach Hotel, par exemple, le sable est moins fréquenté, et des vendeurs proposent des len jong (cerfs-volants thaïs) en forme de dragons ou de poissons, idéaux pour des courses endiablées sur la plage.

Pour les enfants, le Patong Beach Playground (près de la rue Soi Bangla, mais suffisamment éloigné pour éviter les excès) offre des toboggans et des balançoires avec vue sur la mer. Et si vous voulez leur faire vivre une expérience unique, emmenez-les au Phuket Simon Cabaret – un spectacle de travestis plus glamour que vulgaire, où les costumes à paillettes et les reprises de Broadway émerveillent même les plus jeunes. Après le show, un dîner au Baan Rim Pa (un restaurant en bord de falaise) avec ses massaman curry doux et ses mango sticky rice clora la journée en beauté.

Patong version famille : où manger, où jouer, et comment éviter les pièges à touristes

À Patong, les pièges à touristes sont légion – des tuk-tuks qui facturent 500 bahts pour un trajet à 100, aux « seafood restaurants » où le poisson est surgelé et le prix multiplié par trois. Pour éviter ça, suivez les locaux : le OTOP Market (près du Jungceylon Shopping Center) vend des produits artisanaux certifiés (comme les savons au nam prik pao, une pâte de piment grillé), et le Kan Eang@Pier sert un tom yam goong (soupe épicée de crevettes) qui a fait pleurer de bonheur plus d’un gamin courageux.

Pour les jeux en bord de plage, louez un salapao (paddle board thaï) chez Patong Beach Watersports – les moniteurs, souvent d’anciens pêcheurs, connaissent les spots sans méduses et sans courants. Et si vos enfants rêvent d’aventure, le Phuket Treasure Hunt organise des chasses au trésor sur la plage, avec des énigmes basées sur l’histoire des pirates chinois qui hantaient ces côtes au XVIIIe siècle. Une façon ludique d’apprendre que Patong était autrefois un simple village de pêcheurs, bien avant les go-go bars et les bucket drinks.

Patong et Tenerife : quand l’adrenaline des vagues rencontre la majesté des volcans

Il y a des endroits où le voyage bascule dans une forme d’alchimie géographique—où l’on passe, en un clin d’œil, du chaos joyeux des plages bondées aux silences minéraux des sommets fumants. Patong, sur l’île thaïlandaise de Phuket, et le Parc National du Teide à Tenerife, aux Canaries, en sont les parfaits exemples. À Patong, les plages de sable blanc sont des arènes où se jouent, entre deux cocktails muay thai (oui, le bucket local se boit avec une paille et un sourire en coin), des batailles épiques contre les vagues. Pendant ce temps, à 8 000 km de là, le Teide, ce géant endormi, domine Tenerife comme un gardien taciturne, ses flancs striés de sentiers où chaque pas résonne comme une prière aux dieux guanches, ces premiers habitants des Canaries qui vénéraient le feu et la montagne. Les deux destinations, aussi dissemblables soient-elles, partagent une même promesse : l’aventure n’est pas qu’une question de paysage, mais d’état d’esprit.

À Patong, l’océan est un terrain de jeu pour les âmes en quête de sensations fortes. Entre deux sessions de plongée avec les raies pastenagues à Coral Island ou de parasailing au-dessus de la baie, on se retrouve inévitablement attablé dans un restaurant de rue à dévorer un pad thaï goong sod (avec des crevettes si fraîches qu’elles semblent encore nager dans l’assiette), arrosé d’un Singha bien froid. Les nuits ici sont une symphonie de néons et de rires, où les ladyboys des cabarets de Bangla Road dansent avec une grâce qui défie les préjugés, et où les tuk-tuk slaloment entre les motos comme des insectes lumineux. Mais derrière ce spectacle haut en couleur se cache une réalité plus nuancée : Patong est aussi un miroir des contradictions thaïlandaises, où le bouddhisme sérénité côtoie un capitalisme touristique parfois vorace. Prenez le temps de discuter avec un pêcheur au marché de Banzaan Fresh Market au petit matin—ses histoires de ghost nets et de marées changeantes vous rappelleront que la mer, ici, est bien plus qu’un décor.

À Tenerife, tout est question de verticalité. Le Teide, avec ses 3 718 mètres, n’est pas seulement le point culminant de l’Espagne—c’est une cathédrale de lave, où chaque rocher raconte 3 millions d’années d’histoire géologique. Les sentiers comme celui des Roques de García serpentent entre des formations rocheuses sculptées par le vent, tandis que les guanches, ces aborigènes disparus, semblent encore hanter les lieux à travers les pintaderas (motifs géométriques gravés dans la pierre). Les Canariens, eux, ont domestiqué cette rudesse minérale avec une cuisine qui surprend : goûtez un gofio escaldado (une sorte de bouillie de farine grillée, héritée des Guanches) dans un guachinche (auberge rurale) perdu près de La Orotava, et vous comprendrez que la survie, ici, a toujours rimé avec inventivité. Et puis, il y a ces villages blancs accrochés aux flancs de la montagne, comme Garachico, où les vagues viennent s’écraser contre les piscines naturelles de lave, rappelant que l’océan n’est jamais bien loin, même à cette altitude.

Ce qui frappe, en passant de Patong au Teide, c’est cette densité d’expériences—comme si chaque lieu concentrait, à sa manière, l’essence d’une culture. En Thaïlande, c’est la sanuk (le plaisir partagé) qui guide chaque interaction, des cours de cuisine improvisés dans une maison en bambou aux fêtes du Songkran, où l’on s’arrose copieusement pour célébrer le Nouvel An bouddhiste. Aux Canaries, c’est la fiesta de la Rama à Agaete, où les habitants dansent avec des branches d’arbres en fleur pour invoquer la pluie, qui rappelle combient les traditions sont vivaces. Et puis, il y a ces moments où le voyageur se surprend à devenir acteur : aider à tirer un filet de pêche à Rawai avec des Thais hilares, ou partager un vino de la tierra avec un berger canarien qui vous explique, entre deux jurons en espagnol, comment ses chèvres survivent sur les pentes du Teide. Ces instants-là, bien plus que les selfies devant un coucher de soleil (même si, soyons honnêtes, ceux de la plage de Freedom à Patong sont à couper le souffle), définissent ce que signifie vraiment voyager.

Mais au-delà des activités phares—que ce soit le jet-ski à Patong ou l’ascension du Teide au lever du soleil—ces destinations réservent des pépites méconnues qui méritent qu’on s’y attarde. Par exemple, saviez-vous que…

  • À Patong, le Wat Suwan Khiri Khet, un temple bouddhiste caché derrière les bars de Bangla Road, offre des cours de méditation gratuits au lever du soleil—une parenthèse de calme dans le tourbillon.
  • Le Parc Rural de Teno à Tenerife abrite des dragonniers (arbres mythiques des Canaries) et des plages sauvages comme Playa de los Gigantes, accessibles seulement par une randonnée vertigineuse le long des falaises.
  • L’île de La Gomera, voisine de Tenerife, est un paradis pour les randonneurs avec son silbo gomero, un langage sifflé encore utilisé par les bergers pour communiquer à travers les vallées.
  • Les plages secrètes de Phuket, comme Nai Thon ou Mai Khao, sont des alternatives tranquilles à l’agitation de Patong, idéales pour observer les tortues marines (avec un guide local, bien sûr).

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