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Iles Odyssee
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Randonneur au bord du Gran Cratere de Vulcano avec vue sur les fumerolles, et bains de boue des Fanghi en contrebas, Îles Éoliennes, Sicile.

Expériences uniques à Vulcano : entre cratère fumant et bains de boue

Posted on 17 septembre 2025

Il y a des îles qui se contentent d’être belles, et puis il y a Vulcano, cette garce sulfureuse des Éoliennes qui vous rappelle dès le débarcadère que la Terre n’est qu’une croûte fine sur un enfer bouillonnant. Ici, les expériences uniques à Vulcano ne se limitent pas à des cartes postales : elles sentent le soufre, collent à la peau comme la boue des Fanghi, et laissent un arrière-goût de Malvasia – ce vin blanc local qui, comme l’île, a du caractère. Le Gran Cratere, ce géant endormi (enfin, à moitié), vous toise dès l’arrivée, tandis que les habitants, tannés par le soleil et les touristes, vous observent avec une bienveillance teintée d’ironie : « Alors, tu montes ou tu te baignes ? »

Vulcano n’est pas une destination, c’est une épreuve initiatique. Entre les vapeurs âcres qui vous piquent les yeux et les sources chaudes où les locaux trempent leurs os depuis des siècles, l’île impose son rythme. Les bains de boue des Fanghi di Vulcano, cette soupe minérale à 60°C où l’on s’enfonce comme dans une purée de lentilles géothermique, sont censés guérir rhumatismes et peines de cœur – ou au moins vous donner une excuse pour boire un granita al limone ensuite. Et puis il y a la nourriture : des capperi (câpres) si puissants qu’ils semblent poussés dans le cratère lui-même, des panelle (galettes de farine de pois chiche) croustillantes comme la lave refroidie, et des melanzane a cianfotta qui fondent en bouche comme les promesses d’un guide touristique trop optimiste.

Du Gran Cratere aux Fanghi : où la géologie rencontre la légende

Le Gran Cratere di Vulcano (500 m d’altitude, 2h de montée, et une descente qui secoue les genoux comme un tremblement de terre) est le cœur battant de l’île. Son nom vient de Vulcain, le dieu romain du feu, parce que les Anciens, déjà, avaient compris que cette montagne crachait plus que des métaphores. Aujourd’hui, le sentier serpente entre des roches jaunes soufrées et des fumerolles qui sifflent comme des marmites oubliées. En haut, la vue embrasse les autres îles Éoliennes – Lipari, Salina –, mais c’est vers le bas qu’il faut regarder : le cratère lui-même, une gueule béante où la terre respire encore. Les guides locaux, souvent des pêcheurs reconvertis, racontent que les Romains y envoyaient leurs esclaves « pour purger leurs péchés ». Aujourd’hui, on y envoie surtout des touristes en tongs, armés de bouteilles d’eau tiède et d’un selfie stick.

À l’opposé de cette ascension punitive, les Fanghi di Vulcano offrent une rédemption plus… glissante. Ces bains de boue, situés près de la plage de Spiaggia delle Sabbie Nere, sont une institution depuis l’Antiquité. Les Éoliens s’y roulent comme des phoques heureux, tandis que les touristes, d’abord réticents, finissent par admettre que se badigeonner de boue chaude en public est étrangement libérateur. La légende dit que ces fanges guériraient tout, des douleurs articulaires à la malinconia (la mélancolie sicilienne). La science, elle, parle de silice, de soufre et de magnésium. Peu importe : après 20 minutes dans cette purée minérale, vous sortirez avec la peau douce, l’âme légère, et l’envie irrésistible de dévorer un arancino al ragù chez Da Pina, le bar du port où les vulcanari (habitants) discutent football et éruptions passées.

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La randonnée au Gran Cratere de Vulcano : une ascension entre soufre et légende

Imaginez un paysage où la terre respire encore la colère des dieux. Le Gran Cratere de Vulcano, ce géant endormi des îles Éoliennes, est une randonnée niveau intermédiaire de 3 à 5 heures qui vous propulse dans un décor lunaire, entre fumaroles sifflantes et roches ocres. Le sentier, bien balisé mais exigeant (dénivelé de 391 m), serpente à travers des pentes de ponce et de lave solidifiée, où chaque pas soulève un nuage de poussière sulfurée. Les Éoliens appellent ce phénomène « u fumu » – la fumée – et y voient l’haleine d’Héphaïstos, le dieu grec des forgerons, qui aurait forgé les armes d’Achille ici même.

Le départ se fait depuis Porto di Vulcano, où les ruelles pavées regorgent de petits bar-cafés servant des granite al limone (glaces à la limoncello) bienvenues avant l’effort. Les locaux vous conseilleront de partir tôt – vers 6h – pour éviter la chaleur étouffante de midi et croiser les asini selvatici, ces ânes sauvages qui errent entre les buissons de capriers. Au sommet, la récompense est à la hauteur de l’effort : une vue à 360° sur les îles de Lipari, Salina, et Stromboli, ce dernier crachant parfois un panache de cendres comme pour rappeler sa présence. « Qui va a Vulcano e non sale al cratere, è come andare a Roma e non vedere il Papa », dit un proverbe sicilien – « Aller à Vulcano sans monter au cratère, c’est comme aller à Rome sans voir le Pape ».

Redescendre par le sentier ouest mène aux bains de boue du Laghetto di Fanghi, une étape quasi obligatoire. Les Éoliens y viennent depuis des siècles pour soigner rhumatismes et peaux irritées, grâce aux propriétés antiseptiques et exfoliantes de l’argile volcanique. Les couples en quête de romantisme s’y retrouvent au coucher du soleil, quand la boue tiède et les eaux thermales (à 38-40°C) transforment l’expérience en un spa naturel. Prévoyez un maillot de bain noir – la boue tache – et un arancino (boulette de riz frite farcie) acheté chez Bar Gelateria da Pina, une institution locale depuis 1968.

Entre plage des Sables Noirs et kayak : Vulcano, paradis des familles et des aventuriers

La Spiaggia delle Sabbie Nere, avec son sable volcanique chaud sous les pieds, est l’un des rares endroits où les activités gratuites pour familles riment avec dépaysement total. Les enfants y construisent des châteaux noirs qui brillent sous le soleil, tandis que les parents sirotent un vino bianco Malvasia des vignobles de Salina, servi dans des gobelets en terre cuite par les marchands ambulants. Attention aux « scogli » (rochers pointus) en entrant dans l’eau – les locaux portent des scarpe da scoglio, des sandales en caoutchouc renforcé, vendues dans les échoppes du port pour 10-15€.

Pour une expérience plus active, une excursion en kayak autour de Vulcano révèle des criques secrètes comme Cala del Porto, accessible seulement par la mer. Les guides de Eolie Kayak (comptez 45-60€/pers pour 3h) emmènent les pagayeurs observer les berthas mineures (petits pingouins méditerranéens) et les falcons pèlerins qui nichent dans les falaises de Vulcanello, l’isthme de lave qui relie l’île à son petit frère géologique. Un arrêt s’impose à la Grotta del Cavallo, où les reflets turquoise de l’eau sur les parois de basalte créent une cathédrale marine. Les pêcheurs locaux y laissent parfois des « nasse » (nasses en osier) pour capturer Ricci di mare (oursins) – une spécialité à déguster crue avec un filet de citron.

Kayakistes explorant la Grotta del Cavallo à Vulcano au coucher du soleil, eaux turquoise et falaises
La Grotta del Cavallo, joyau caché de Vulcano, où la lumière danse sur l’eau comme des paillettes.

Où dormir à Porto di Vulcano : hôtels avec vue mer entre 80 et 150€/nuit

À Vulcano, l’hébergement est un art de vivre. Pour un budget entre 80 et 150€/nuit, trois adresses se distinguent :

Hotel Eolie (à partir de 90€) : Une terrasse suspendue au-dessus du port, où le petit-déjeuner est servi avec des cornetti alla ricotta (croissants fourrés à la ricotta) et une vue imprenable sur les bateaux de pêche qui rentrent à l’aube. Les chambres, simples mais impeccables, sont décorées de céramiques peintes à la main par les artisans de Santo Stefano di Camastra.

Residence La Pergola (110-140€) : Des bungalows en pierre volcanique nichés dans un jardin de bougainvilliers, avec piscine d’eau de mer. Le propriétaire, Signor Antonio, organise des dîners à thème où l’on déguste des pasta ‘ncaciata (pâtes au fromage et à la saucisse) cuites au four à bois, accompagnées de vins de ses cousins vignerons de Piedimonte Etneo.

Hotel Villa d’Orlando (130-150€) : Un ancien palais du XIXe siècle transformé en hôtel-boutique, avec des fresques murales représentant l’éruption de 1888-1890. Leur aperitivo (18h-20h) offre des arancini al pistacchio et des caponatine (salade de légumes marinés) à déguster sur des transats face à la mer.

« Vulcano non è un’isola, è un sentimento. »
(« Vulcano n’est pas une île, c’est un sentiment. »)
— Rosaria, 78 ans, tenancière du Bar del Porto depuis 1972

Vulcano hors des sentiers battus : artisanat, fêtes et malavoglia éolienne

Derrière les cartes postales, Vulcano pulse au rythme d’une culture où le temps semble s’être arrêté. Dans l’atelier « L’Arte del Corallo », près de la Piazza Bagni, Maestro Salvatore sculpte des bijoux en corallo rosso (corail rouge) et en ossidiana (obsidienne), deux trésors des fonds marins éoliens. « Le corail porte bonheur aux marins », explique-t-il en polissant une bague, « mais attention, il ne faut jamais en offrir à une femme avant le mariage – ça porte malchance ». Ses pièces, vendues entre 50 et 300€, sont des héritages des corallari, ces plongeurs qui risquaient leur vie pour récolter le corail au XIXe siècle.

Chaque 15 août, la fête de l’Assunta transforme le port en une explosion de couleurs. Les « varchigghiuni » (charrettes siciliennes décorées) défilent tirées par des chevaux parés de rubans, tandis que les « bandiere » (drapeaux) des corporations de pêcheurs flottent au vent. Le clou du spectacle ? La « sagra del pesce spada » (fête de l’espadon), où les marins cuisinent le poisson géant à la ghiotta (sauce tomate, olives, câpres) dans des chaudrons en cuivre. « Ici, on mange l’espadon comme ailleurs on mange du poulet », rigole Totò, un pêcheur, en servant des assiettes en terre cuite.

L’art de la malavoglia : quand la paresse devient philosophie

Les Éoliens ont un mot pour désigner leur rapport au temps : malavoglia. Littéralement « mauvaise volonté », ce concept désigne une forme de dolce far niente teintée de résistance face à l’urgence moderne. À Vulcano, cela se traduit par des siestes de trois heures l’après-midi, des parties de scopa (jeu de cartes) interminables sous les treilles, et des repas qui s’étirent jusqu’à minuit. « Pourquoi courir ? », demande Nonno Peppino, 85 ans, attablé devant un verre de limoncello maison. « Demain, le soleil se lèvera encore, et le cratère sera toujours là. »

Cette philosophie se retrouve dans la cuisine. Les plats sont lents à préparer, comme les gnocchi di patate (gnocchis de pommes de terre) servis avec une sauce aux alici salate (anchovies salées), ou les cuddureddi (beignets au miel et orange), frire pendant des heures dans de l’huile d’olive de Valle Muria. Même le pain, le « pane cunzato », est une œuvre de patience : recouvert d’huile d’olive, de tomates séchées, d’olives et d’origan, il cuit longtemps au four à bois pour devenir croustillant comme une tuile.

Le saviez-vous ? Vulcano, berceau de la volcanologie moderne

Si le mot « volcan » vient de Vulcano, c’est grâce à l’ingénieur romain Lucius Annaeus Seneca, qui décrivit en 79 ap. J.-C. les « feux souterrains » de l’île dans ses Naturales Quaestiones. Mais c’est au XIXe siècle que l’île devient un laboratoire scientifique. En 1888, le Français François Lenormand y installe le premier observatoire volcanologique au monde, après une éruption qui dura deux ans et recouvrit Lipari de cendres. Aujourd’hui, l’INGV (Institut National de Géophysique et Volcanologie) y surveille en temps réel l’activité sismique. Une visite au Museo Vulcanologico (5€ l’entrée) permet de voir les sismographes historiques et des échantillons de lave datés de l’éruption de 183 av. J.-C., mentionnée par Strabon.

Ironie de l’histoire : alors que les touristes viennent aujourd’hui pour se détendre, Vulcano fut autrefois une colonie pénitentiaire (1890-1916), où les détenus extraient le soufre dans des conditions dantesques. Leurs descendants, comme Signora Maria, 92 ans, racontent comment leurs grands-pères creusaient des tunnels dans la roche brûlante, protégés seulement par des chiffons humides. « Ils disaient que le diable habitait le cratère », murmure-t-elle en montrant une photo jaunie. Aujourd’hui, les tunnels abandonnés abritent des pipistrelli (chauves-souris) et servent de cachettes aux enfants pendant les parties de cache-cache géantes organisées l’été.

Vulcano, l’île où la terre gronde et où le temps s’arrête entre soufre et granita au café

Ainsi, vous voilà debout sur le Porto di Levante, les narines piquées par cette odeur âcre de soufre qui colle à la peau comme une seconde couche de crème solaire mal appliquée. Vulcano, la plus méconnue des Îles Éoliennes, n’a pas les foules d’Lipari ni le glamour surfait de Stromboli, mais elle offre quelque chose de bien plus rare : une authenticité brute, où les vulcanari (les habitants) vivent au rythme des fumaroles et des saisons touristiques courtes. Ici, on ne vient pas pour les lounge bars, mais pour marcher sur un volcan actif, se rouler dans la boue thermale du Laghetto dei Fanghi (oui, c’est aussi glamour que ça en a l’air), et déguster une granita al caffè chez Bar Gelateria da Pina, un institution depuis 1952. Le temps semble s’être arrêté entre les murs blanchis à la chaux et les ruelles où les vieux pêcheurs réparent leurs filets à l’ombre des bougainvilliers.

L’ascension du Cratère de Vulcano (391 mètres, pour les puristes) est une métaphore parfaite de l’île : ça commence par une pente douce parmi les genêts et les capriers sauvages, puis ça vire au calvaire de cendres volantes et de roches brûlantes sous le soleil de midi. Preparatevi, comme disent les locaux – préparez-vous. Emportez de l’eau, un chapeau, et une dose healthy de respect pour la montagne qui grogne sous vos pieds. En haut, la récompense est à la hauteur de l’effort : une vue à 360° sur les autres îles Éoliennes, la mer Tyrrhénienne d’un bleu obsédant, et ce panache de fumée blanc qui s’échappe du cratère comme un rappel constant que la Terre, ici, respire encore. Les plus chanceux croiseront peut-être Salvatore, un guide local qui raconte l’éruption de 1888-1890 comme s’il y avait assisté hier – avec des détails sur les pietre pomici (pierres ponces) qui ont recouvert les toits et les cannoli sauvés in extremis par les nonnes du couvent.

Mais Vulcano, ce n’est pas que du soufre et des sueurs. C’est aussi des plages de sable noir comme le Spiaggia Nera, où les enfants locaux construisent des châteaux avec des galets porueux tandis que les touristes italiens jouent au bocce sous les tamaris. C’est le marché du samedi matin à Vulcano Porto, où les étals regorgent de caperi sotto sale (câpres sous sel), de tomates pachino éclatées de soleil, et de fromages de chèvre affiné dans des feuilles de figuier. Goûtez les panelle – ces beignets de farine de pois chiche – chez Trattoria da Francesco, arrosés d’un Malvasia local servi dans des verres en plastique parce que, bon, on est quand même sur une île où le vent peut tout emporter en cinq minutes. Le soir, l’ambiance bascule : les familles dînent tard, les ados se retrouvent sur le port avec des bières Peroni tiédies, et les anciens jouent aux cartes sous les réverbères, commentant les dernières rumeurs du village avec une intensité digne d’une tragédie grecque.

Ce qui frappe à Vulcano, c’est cette dualité entre la violence tellurique et la douceur de vivre. Les habitants ont appris à composer avec les caprices de leur île – les tremblements de terre, les éruptions, les étés torrides où l’eau devient rare. Pourtant, ils célèbrent la vie avec une ferveur qui force l’admiration. Prenez la Festa di San Vincenzo en juillet : une procession religieuse le matin, suivie d’un repas communautaire où l’on sert des pasta al forno géantes, des sarde a beccafico (sardines farcies), et des gâteaux à l’amande qui fondent sous le palais. Ou encore la tradition des pupi siciliani, ces marionnettes en bois qui racontent les exploits de Roland et des Chevaliers de France, un héritage normand qui résiste encore dans les ruelles poussiéreuses. Même les artisans locaux, comme les potiers de Piano ou les tisserands de Gelso, perpétuent des savoir-faire anciens avec une fierté tranquille. À Vulcano, on ne se bat pas contre la nature – on danse avec elle, même quand elle a des pieds de plomb.

Alors, prêt à plonger dans cette île où le feu et l’eau s’embrassent depuis des millénaires ? Voici quelques incontournables pour éviter de passer à côté de l’âme de Vulcano – parce qu’ici, perdersi (se perdre) fait partie du voyage, mais autant le faire avec style :

  • S’offrir une cure de boue thermale au Laghetto dei Fanghi – oui, vous ressortirez avec l’air (et l’odeur) d’un monstre des marais, mais votre peau vous remerciera. Les locaux jurent que ça soigne tout, des rhumatismes aux chagrins d’amour.
  • Déguster une granita con panna chez Bar Gelateria da Pina, en observant les ferries arriver au port. Leur secret ? Un café torréfié sur place et une crème fouettée maison qui tient miraculeusement malgré la chaleur.
  • Explorer les fonds marins autour de Punta del Roveto, où les bulles de gaz volcanique créent un spectacle sous-marin surréaliste. Les plongeurs expérimentés adoreront, et les débutants peuvent opter pour un baptême avec Eolie Diving Center.
  • Assister à un coucher de soleil depuis Valle dei Mostri (la Vallée des Monstres), où les formations rocheuses érodées ressemblent à des créatures préhistoriques. Apportez une bouteille de Nero d’Avola et laissez-vous conter les légendes locales par un habitant.
  • Faire un détour par les îles voisines : un tour en bateau vers Minorque (si vous avez le temps) ou vers les criques secrètes d’Ibiza pour comparer les bleus de la Méditerranée. Mais attention, Vulcano vous aura déjà volé un morceau de cœur.

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